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Jeudi, au micro de RMC, Jamel Debbouze a confié avoir été approché par un membre du gouvernement qui lui aurait proposé un poste en tant que secrétaire d’Etat : "On m’a proposé d’être secrétaire d’Etat, secrétaire d’Etat à la… comment ça s’appelle", a-t-il déclaré en riant, sans préciser à quel moment cette offre lui a été faite ni de quel ministère il s'agissait.
L’humoriste de 42 ans a tout de même précisé à la radio qu’il avait refusé la proposition car cela ne fait en aucun cas partie de son métier : "ce n’est évidemment pas mon métier, parce que je m’y ennuierai à mourir, parce que c’est là où je serai le moins efficace, le plus figé et le plus critiqué".
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"Quand je monte sur scène et que je fais l’Olympia ou le Zénith, j’ai le sentiment d’être utile"
Jamel Debbouze a expliqué au micro de RMC, qu’il se sentait plus utile sur scène qu’au gouvernement : "Quand je monte sur scène et que je fais l’Olympia ou le Zénith, j’ai le sentiment d’être utile. Il vient d’en bas, il a une main dans la poche, il se retrouve là… Il y a une forme d’espoir quelque part ". Si l’humoriste garde ses distances avec la politique, il s'implique dans une autre de ses passions : le foot.
Le quadragénaire a expliqué s’être entretenu avec Noël Le Graët, dirigeant de la Fédération française de football, pour que Karim Benzema revienne dans le paysage footballistique : "Je n’ai aucune légitimité là-dedans mais j’aime le football, j’aime Karim. C’est un symbole, comme Ben Arfa peut l’être". Selon Jamel Debbouzze, pour lui comme pour Omar Sy, qu'il a cité comme exemple : "Notre acte politique, c’est de continuer à faire ce qu’on fait dans les meilleures conditions ".