
Depuis le 7 mars, la CGT bloque des raffineries pour lutter contre la réforme des retraites. Avec le recours au 49.3 par Elisabeth Borne, les grévistes promettent un durcissement du mouvement. Quelle est la...
Leur échange a été bref mais intense. Mercredi dernier, Mohamed Rizki était installé dans un café avec un ami, lorsque Valérie Trierweiler est entrée. Il lui a alors demandé : "Comment va François ?" Une question qui n'aurait pas plus à l'ex-compagne du président, qui a alors giflé le jeune homme. "En l'espace d'une fraction de seconde, elle a changé de visage" raconte au Parisien Mohamed Rizki, assurant qu'il s'agissait d' "une simple question, sans arrière-pensée". "Elle est venue vers nous en répétant de manière très agressive : Excusez-vous ! Excusez-vous ! Excusez-vous ! Elle était très, très hystérique. Et là, elle m’a giflé avant de tourner les talons" ajoute-t-il.
Une réaction "totalement disproportionnée"
Déstabilisé et choqué, cet ancien candidat UMP aux municipales à Compiègnes, estime que la réaction de Valérie Trierweiler était "totalement disproportionnée". "Elle a porté atteinte à mon intégrité physique, morale et à ma dignité humaine. Entre gens civilisés, on n'utilise pas la violence pour des mots" estime-t-il. Mohamed Rizki, qui a porté plainte, indique au journal qu'il souhaite également que Valérie Trierweiler lui fasse des excuses publiques. "Je ne l’ai pas insultée. j’ai l’impression d’avoir été violenté dans ma liberté d’expression" déclare-t-il.
Une expertise psychiatrique
Son avocat, Me Emmanuel Marsigny, indique lui qu'il allait "demander une expertise psychiatrique de Mme Trierweiler". "Nous sommes en droit de nous interroger sur son état de santé psychiatrique et son état de dangerosité" estime-t-il. "C’est un comportement qui relève, peut-être, d’une pathologie psychiatrique".