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Valérie Trierweiler semble bel et bien remise des évènements douloureux qu’elle a vécus en début d’années. Après s’être vengée de François Hollande en écrivant Merci pour ce moment et avoir empoché plus d’un million d’euros grâce à son succès dans les librairies françaises, l’ancienne Première dame s’apprête désormais à entamer une tournée mondiale pour assurer la promotion de son livre-bombe. Une nouvelle quelque peu surprenante quand on sait qu’en France, elle n’a fait ni promotion ni déclaration publique. Et alors que son ouvrage a été traduit et vendu dans onze autres pays, c’est en Angleterre que Valérie Trierweiler se rendra en premier.
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10 000 exemplaires déjà vendus outre-MancheC’est ainsi à la chaîne BBC que l’ex-compagne de François Hollande accordera sa toute première interview, laquelle sera diffusée lundi dans l’émission "Newsnight", rapporte Le Parisien. Elle devrait ensuite être l’invitée d’une autre émission, "The Andrew Marr Show", et faire la Une du Times. Un programme digne d’une véritable célébrité et que Valérie Trierweiler doit au succès que son livre promet d’ores et déjà de rencontrer outre-Manche. En effet, près de 10 000 exemplaires auraient été commandés "avant même sa sortie en librairie", croit savoir le quotidien. "Valérie sera à Londres pour quatre jours à partir du 22 novembre. Puis nous envisageons des déplacements à Rome et à Madrid. Et pourquoi pas, un jour, aux Etats-Unis", aurait par ailleurs confié au journal l’agent littéraire de l’ancienne Première dame.
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"Je suis une guerrière"Plutôt silencieuse depuis la sortie de son livre, Valérie Trierweiler a récemment accepté de sortir de sa réverse, en marge d’une séance de dédicaces organisées à Bordeaux. "Je ne regrette rien", aurait-elle assuré aux lecteurs venus la rencontrer, indique 20 Minutes. "Les médias ont été durs avec moi, mais je suis une guerrière", aurait-elle estimé avant d’ajouter : "Il n’y a pas que des femmes qui me lisent, je vois beaucoup d’hommes, des gens de tous âges, notamment des très jeunes, comme des collégiens". Et celle-ci de souligner : "on m’interpelle très peu sur la politique, contrairement à ce que l’on pourrait penser".
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