D'ici 2100, la température moyenne dans le nord de la France sera comparable à celle de la région de Montpellier actuellement. La faute au réchauffement climatique.
Le 27 janvier, Donald Trump, à peine installé à la Maison Blanche, mettait en place un décret sur l’immigration qui interdisant l’entrée sur le territoire américain des ressortissants et des réfugiés de sept pays d'Afrique et du Moyen-Orient : l’Irak, l’Iran, la Libye, la Somalie, le Yémen, la Syrie et le Soudan.
Dans les dispositions initales de la mesure, tous les ressortissants de ces pays sont concernés, y compris les binationaux. Toute personne possédant un passeport de l’un de ces sept pays se voit refuser l’accès aux Etats-Unis. Ainsi, par exemple, un franco-iranien voulant se rendre aux Etats-Unis ne le pourrait pas : le fait qu'il ait la nationalité iranienne, présente sur la liste du décret, lui en interdit l'accès même s'il dispose d'un visa en règle. Une situation extrêmement contraignante pour les Français binationaux.
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Des exemptions ont finalement été obtenues
Le champ d'application de la mesure a finalement évolué. Dimanche, après des négociations avec le gouvernement américain, l’Angleterre et le Canada ont été les premiers à bénéficier d’un système d’exemption pour leurs citoyens binationaux. Libération rapporte que la même dérogation a été mise en place ensuite pour le Danemark, la Suisse, l’Australie et la France, avant d’être finalement étendue à tous les voyageurs binationaux, ayant une des nationalités concernées par le décret américain.
Depuis mardi, les restrictions pour les binationaux sont donc levées. Tous les binationaux français possédant la nationalité d’un des pays de la liste établie par le président américain pourront se rendre aux Etats-Unis s’ils sont munis d’un visa sur leur passeport français uniquement. Leur second passeport devient inutilisable.
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