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Isolement des cas, masque dans les transports… Ces mesures sanitaires ne nous ont pas quittés depuis deux ans. Et avec l’arrivée des beaux jours, de nombreux Français sont las.
Dans la capitale, certains “rebelles” omettraient même volontairement de porter leur masque, rapporte Le Figaro, pour éviter de transpirer davantage, ou parce qu’ils en ont assez de devoir se couvrir le visage.
Surtout que l'épidémie semble largement s'essouffler. Au 6 mai 2022, on prélève en moyenne 39 788 cas positifs à la COVID-19 chaque jour, selon le site CovidTracker. Le chiffre est en baisse de 29 % par rapport à la semaine précédente.
Dans l’ensemble, les données sur l'épidémie enregistrées dernièrement n’ont pas atteint de chiffres aussi bas depuis… décembre 2021, c'est-à-dire, avant la quatrième et cinquième vague. En aurait-on fini avec le virus ?
Les autorités veulent rester prudentes. Car le coronavirus est imprévisible, et de nouveaux variants plus ou moins contagieux peuvent encore faire surface.
Le 12 mai 2022 aura lieu, dans ce sens, un sommet mondial, initié par le président américain Joe Biden, afin réfléchir aux solutions globales pour mettre fin à la pandémie, et se préparer à de futures menaces.
Pour autant, en France, le gouvernement a annoncé qu’il ne fermait pas la porte à une levée totale des restrictions avant l’été. Il y a quelques jours, le porte-parole de l’exécutif, Gabriel Attal, indiquait que cette "nette amélioration" de la situation sanitaire "donnera lieu à des adaptations dans les prochaines semaines".
Mi-avril, le président-candidat Emmanuel Macron jugeait, lui, “raisonnable” de mettre fin au port du masque dans les transports si les chiffres suivaient. C'est désormais chose faite puisqu'en raison de l'évolution favorable des indicateurs liés à l'épidémie de Covid, le ministre de la Santé a annoncé ce mercredi 11 mai la levée de certaines mesures, dont l'obligation du port du masque dans les transports dès ce lundi 16 mai.
"À partir du lundi 16 mai, le port du masque ne sera plus obligatoire dans les transports en commun", a en effet précisé Olivier Véran. Le ministre a toutefois tenu à rappeler que le porte du masque restait "recommandé" car "nous ne sommes pas sortis de la cinquième vague". Malgré l'amélioration de la situation en milieu hospitalier, Olivier Véran a tenu à rappeler à l'issue du Conseil des ministres que le pass sanitaire et le port du masque restaient cependant en vigueur dans les hôpitaux et les Ehpad, "au moins jusqu'à l'été".
Ce qui est sûr, c’est que dans ces 38 départements, la situation semble rassurante. Découvrez dans notre diaporama là où le masque pourrait devenir caduc dans les prochaines semaines.
* selon les données de CovidTracker au 10/05/2022
On dénombre, au 6 mai 2022, 387 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Le taux d’incidence dans le département est de 394 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
On dénombre, au 6 mai 2022, 396 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
On dénombre, au 6 mai 2022, 299 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Le taux d’incidence dans le département est de 364 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 366 le 6 mai 2022.
Le taux d’incidence dans le département est de 326 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
On dénombre, au 6 mai 2022, 390 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 398 le 6 mai 2022.
On dénombre, au 6 mai 2022, 337 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Le taux d’incidence dans le département est de 397 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Le taux d’incidence dans le département est de 314 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
On dénombre, au 6 mai 2022, 399 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Le taux d’incidence dans le département est de 296 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
On dénombre, au 6 mai 2022, 311 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
On dénombre, au 6 mai 2022, 389 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Le taux d’incidence dans le département est de 325 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Le taux d’incidence dans le département est de 304 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Le taux d’incidence dans le département est de 377 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 382 le 6 mai 2022.
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 394 le 6 mai 2022.
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 290 le 6 mai 2022.
Le taux d’incidence dans le département est de 297 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
On dénombre, au 6 mai 2022, 387 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 281 le 6 mai 2022.
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 380 le 6 mai 2022.
Le taux d’incidence dans le département est de 378 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 386 le 6 mai 2022.
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 342 le 6 mai 2022.
Le taux d’incidence dans le département est de 364 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 339 le 6 mai 2022.
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 265 le 6 mai 2022.
Le taux d’incidence dans le département est de 342 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
Le taux d’incidence dans le département est de 286 cas pour 100 000 habitants. C’est en dessous de la moyenne nationale (415).
On dénombre, au 6 mai 2022, 348 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 313 le 6 mai 2022.
On dénombre, au 6 mai 2022, 379 cas pour 100 000 habitants dans le département. Un taux d’incidence plus bas que la moyenne à l’échelle nationale (415 cas pour 100 000 habitants).
Dans le département, le taux d’incidence s’élevait à 293 le 6 mai 2022.