Covid-19 : les 37 départements où le taux d'incidence est le moins élevé

Publié par Eléonore Bounhiol, le 21/06/2022

2 min de lecture

Covid-19 : les 37 départements où le taux d'incidence est le moins élevé

Le gouvernement présente mercredi un projet de loi où pourrait figurer le retour du masque dans les transports. Mais ces 37 départements, qui restent pour l’instant relativement épargnés par la nouvelle vague, devraient y échapper.

La nouvelle vague de l’épidémie semble s’installer en même temps que l’été sur le territoire français.

Après plusieurs semaines d’accalmie, la rapide propagation des nouveaux sous-variants BA.4 et BA.5 serait à l’origine d’une recrudescence des contaminations, du moins, si l’on en croit les dernières données.

Ainsi, le site CovidTracker note qu’au 17 juin, on relevait 44 062 nouveaux cas positifs au Covid-19, ce qui correspond à une augmentation de 49% en une semaine.

Désormais, une personne positive en contaminera en moyenne 1,43 à son tour. Et près d’une personne testée sur 4 est également positive.

Plus inquiétant encore : cette "nouvelle vague" n’en serait qu’à ses balbutiements.

De quoi forcer les autorités à revoir leur programme en matière de restrictions sanitaires ? Rien n’est à exclure.

Nouvelle vague : les restrictions qui pourraient revenir

En effet, alors que les scientifiques de l’Hexagone s’inquiètent de la flambée des cas, le gouvernement doit présenter demain un nouveau projet de loi en Conseil des ministres, censé définir la stratégie de gestion de la crise sanitaire après le 31 juillet 2022.

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Faudra t-il remettre le masque cet été, ressortir le passe vaccinal, prendre rendez-vous pour une nouvelle injection ?

Depuis le 11 novembre 2021, la France est sous le régime de “l’état d’urgence”. Le gouvernement peut donc encore imposer ces restrictions. De son côté, la porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire, a évoqué des "mesures de freinage si la situation était amenée à évoluer, voire à dégénérer post-31 juillet", rapporte Franceinfo.

En attendant, le taux d’incidence national est de 459 cas pour 100 000 habitants

Certains départements sont bien en deçà de ce chiffre, et devraient, pour l’heure, échapper aux restrictions envisagées. Découvrez la liste dans notre diaporama.

Allier

1/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 275 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Alpes-de-Haute-Provence

2/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 309 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Ardèche

3/37

On dénombrait 293 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Ardennes

4/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 309 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Ariège

5/37

On dénombrait 323 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Aube

6/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 276 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Aveyron

7/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 282 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Bas-Rhin

8/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 347 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Territoire de Belfort

9/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 336 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Charente

10/37

On dénombrait 275 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Cher

11/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 300 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Corse-du-Sud

12/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 344 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Creuse

13/37

On dénombrait 307 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Haute-Saône

14/37

On dénombrait 332 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Deux-Sèvres

15/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 278 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Haut-Rhin

16/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 349 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Drôme

17/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 267 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Cantal

18/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 342 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Haute-Marne

19/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 233 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Haute-Loire

20/37

On dénombrait 304 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Maine-et-Loire

21/37

On dénombrait 346 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Hautes-Alpes

22/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 305 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Mayenne

23/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 304 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Indre

24/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 321 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Marne

25/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 342 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Hautes-Pyrénées

26/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 324 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Loire

27/37

On dénombrait 315 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Orne

28/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 275 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Nièvre

29/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 276 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Lozère

30/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 288 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Jura

31/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 276 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Meuse

32/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 292 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Lot-et-Garonne

33/37

Au 17 juin, le taux d’incidence du département s'élevait à 285 cas pour 100 000 habitants, contre 459 à l’échelle nationale.

Savoie

34/37

Dans le département, le taux d’incidence au 17 juin était de 324 cas pour 100 000 habitants. C’est assez élevé, mais bien en dessous de la moyenne nationale (459).

Saône-et-Loire

35/37

On dénombrait 276 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).

Vaucluse

36/37

On dénombrait 317 cas pour 100 000 habitants le 17 juin dans le département. C’est bien moins que la moyenne nationale (459 cas pour 100000 habitants).