
Alors que le timbre rouge est aujourd'hui dématérialisé, La Poste permettra à ses facteurs de scanner les L'envoi les lettres urgentes à domicile à partir d'octobre. On vous en dit plus.
En octobre 2017, Carla Bruni sortait son dernier album, intitulé French Touch. Pour en assurer la promotion, la chanteuse s’est notamment pliée à l’exercice médiatique et a donné un certain nombre d’interviews. D’après L’Express, elle envahissait même l’espace médiatique à l’époque. Pour autant, parce que son mari le refusait, elle n’aurait pas pu voir un certain journaliste rapporte Gala…
En effet, quand Patrick Cohen propose un entretien sur le plateau d’Europe 1 à l’ancienne première dame, cette dernière en parle avec Nicolas Sarkozy. L’ex président de la République aurait alors "imposé son veto". Pourquoi ? Parce que le chroniqueur de France 5 n’a pas ses faveurs. Il s’agirait même "d’un journaliste qu’il apprécie peu", révèle Paris Match dans son édition du 7 février.
Toutefois, Nicolas Sarkozy n’est pas le seul à donner son avis sur ce genre de sujet. Il solliciterait régulièrement l’expertise de son épouse. "La musicienne ne manque jamais de lui donner son avis sur ses hôtes, souvent tranché, rarement amène, toujours très drôle. Une manie aiguisée lors de leur période élyséenne", poursuit le journal.
Par le passé, pendant le mandat présidentiel de François Hollande, Carla Bruni avait déjà été reçue par Patrick Cohen. L’entretien s’était d’ailleurs assez mal passé, rappelle RTL. Sur le plateau de C à vous, le chroniqueur a souhaité pointer du doigt les limitations imposées par le rôle de première dame. "Ah non, j’étais totalement indépendante", a affirmé la chanteuse. "Avec des contraintes, des obligations, un devoir de réserve…", poursuit le journaliste. Une déclaration qui agace profondément l’ex-mannequin.
"Parce que vous n’en avez pas des contraintes, des obligations, des devoirs de réserve, tous les jours à l’antenne ? Vous feriez mieux de faire attention à ce que vous dites. Pensez au devoir de réserve", assène alors Carla Bruni-Sarkozy. "Qui n’a pas de contraintes, d’obligations ? Qu’est-ce que c’est que cette idée ?", s’enquit-elle ensuite, non sans balayer les nouvelles questions du journaliste. Quand il lui reproche de faire semblant de ne pas comprendre, elle s’indigne de nouveau. "Je ne fais pas semblant, je n’aime pas tellement qu’on vienne me dire ce que je pense", conclut-elle.
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