
Les versements de la Caf (caisse d'allocation familiale) sont des aides très appréciés par les Français dans le besoin au quotidien. Ce jeudi 5 octobre, un nouveau versement est prévu jusqu'à 598 euros,...
"Il faut que je sois au top" déclare Bernard Tapie. Par ces mots, l’ancien homme d’affaire entend arrêter son traitement contre le cancer qu’il combat depuis plus d’un an. Affaibli par la maladie, il veut être en meilleure forme lorsqu’il se défendra dans le procès de l’affaire Adidas-Crédit lyonnais qui débutera le lundi 11 mars.
Alors voilà "plus de chimiothérapie, plus d’antidouleurs, rien !" raconte Bernard Tapie au JDD. L’ancien propriétaire d’Adidas est déterminé à ne pas se laisser faire. Il décrit d’ailleurs ce procès comme "l’un des rendez-vous les plus importants de [sa] vie". Dans cette affaire, il juge être la victime.
Parce qu'il estime que les antidouleurs l'affectent particulièrement l'ancien propriétaire de l’Olympique de Marseille vivra sans son traitement durant trois semaines. Une décision radicale qui survient alors qu’on lui a enlevé les trois-quarts de son estomac ainsi que la moitié de l’œsophage, raconte-t-il.
Dans ce procès, Bernard Tapie fait l’objet d’accusations pour escroquerie et détournements de fond publics.
Ce combat qui dure depuis plusieurs décennies, l’oppose à la banque du Crédit Lyonnais. Récemment, Planet évoquait l’épisode dans lequel se tenait l’audience autour de l’arbitrage rendu en 2008, en faveur du politicien. Celui-ci avait bénéficié de 404 millions d’euros. Il a, depuis, été sommé de rendre cette somme, auxquels s'ajoutent les intérêts.
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