
Après un premier week-end de printemps pluvieux et orageux, 24 départements sont encore placés en vigilance jaune par Météo-France ce lundi. Voici lesquels.
C’est lors d’une réunion avec son équipe, ce lundi que le président a fait savoir qu’aucune mesure ne sera prise concernant les droits de succession, contredisant ainsi les dires de Christophe Castaner.
En effet, le délégué général de La République en Marche et secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement a déclaré ce vendredi durant une conférence de presse vouloir "ouvrir une réflexion sans tabou sur la fiscalité des successions" pour lutter "contre les inégalités de naissance qui progressent", selon LCI.
"On a demandé des efforts aux retraités. Mais maintenant, arrêtez de les emmerder", a asséné le chef de l’Etat, avant d’assurer : "Les droits de succession et les pensions de réversion, on n’y touchera pas tant que je serai là".
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En baisse dans les sondages depuis la rentrée, Emmanuel Macron a-t-il vu une opportunité pour redorer son blason, en prenant le contre-pied de son Secrétaire d’Etat ? Après la hausse de 1,7% de la Contribution Sociale Généralisée (CSG) et une limitation de la revalorisation des retraites à 0,3% en 2019 et 2020, d’après Le Point, les retraités font à n'en pas douter partie des mécontents.
En mars un sondage Ifop pour le JDD estimait que la part des plus de 65 ans mécontents avait bondi de 8 points pour atteindre les 58%.
l’annonce de Christophe Castaner faisait référence à un rapport datant de 2017 de France stratégie, un organisme dirigé par l’économiste et proche d’Emmanuel Macron, Jean Pisani-Ferry. L'étude invitait à une révision de la fiscalité des droits de succession afin d’éviter "l’apparition d’une société à deux vitesses", d’après Sud Ouest.