Publié par Rédaction, le 05/05/2014

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Un peu plus de trois mois après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler a fait de nouvelles confidences au Parisien : la journaliste de Paris Match envisagerait de retravailler à la télévision. Elle serait même "en négociation" avec "plusieurs chaînes".

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Valérie Trierweiler prévoit bel et bien de faire son grand retour, mais sans doute pas là où on l’attendait. Alors que le bruit court depuis plusieurs semaines que l’ex-compagne du président s’apprêterait à sortir un livre racontant ses quelques mois passés à l’Elysée, ses dernières confidences au Parisien laissent entendre qu’elle pourrait plutôt réapparaître sur les écrans de télévision. Au cours d’un entretien récemment accordé au journal, la journaliste de Paris Match aurait en effet affirmé qu’elle était "en négociation pour refaire de la télé". Contrainte d’abandonner son émission politique sur D8 pour ne pas interférer avec la campagne présidentielle de François Hollande, Valérie Trierweiler envisagerait donc de reprendre sa carrière là où elle l’avait arrêtée. "Des rendez-vous sont programmés avec différentes chaînes", assure même le quotidien.

"J’essaie de ne garder que du positif de mon passage à l’Elysée"Actuellement en déplacement en Haïti dans le cadre de son engagement humanitaire, l’ex-compagne du président a par ailleurs donné quelques informations sur son état d’esprit. "Je vais bien", a-t-elle assuré. "Je me reconstruit petit à petit", a-t-elle poursuivi avant d’ajouter : "Je reçois beaucoup de courriers, de témoignages de sympathie de gens dans la rue. J’essaie de ne garder que du positif de mon passage à l’Elysée". Quelques jours après l’annonce de sa rupture avec le président en janvier dernier, Valérie Trierweiler avait expliqué au magazine qu’il l’emploie : "Quand j’ai su (pour la supposée liaison entre François Hollande et Julie Gayet, ndlr), j’ai cru tomber d’un gratte-ciel". Des propos sur lesquels Ségolène Royal avait ensuite ironisé en lâchant, selon le Canard Enchaîné : "Il ne faut rien exagérer. Ce n’est quand même pas le 11 septembre !".