Brigitte Macron et Emmanuel MacronAFP
Emmanuel Macron peut compter sur deux piliers dans sa vie à l'Elysée. Problème, ils ne s'entendent pas du tout...

Brigitte Macron : qui est son principal rival ?

"Dans sa vie de président, Emmanuel Macron s'appuie sur deux piliers, deux regards, deux repères : un pilier affectif, son épouse, et un pilier professionnel, Alexis Kohler". Ces mots sont ceux de Philippe Grangeon dans Madame la présidente (Plon), de Nathalie Schuck et Ava Djamshidi. Pourtant, révèle ce même ouvrage, ces deux piliers ne restent pas toujours en place et n'hésitent pas au contraire à s'entrechoquer...

Entre Brigitte Macron et le secrétaire général de l'Elysée, les relations sont très loin d'être au beau fixe, voire même très mauvaises. La première dame le confie elle-même aux deux autrices dans leur livre : "Il est mon principal rival".

Brigitte Macron : cette rivalité, un danger pour Emmanuel Macron 

Cette rivalité entre Brigitte Macron et Alexis Kholer trouve ses explications, entre autres, dans les caractères diamétralement opposés des deux protagonistes. "Cet homme est la tour de contrôle de l'exécutif, celui avec qui le président passe l'autre moitié de sa vie, si ce n'est davantage, depuis l'époque de Bercy. Raide et froid de prime abord, il peine à fendre l'armure avec cette femme vibrionnante et chaleureuse. Ces deux personnages essentiels au président coexistent, mais ne se comprennent pas", expliquent ainsi Nathalie Schuck et Ava Djamshidi.

Brigitte Macron, comme le mentionnait Planet il y a peu, ne s'entendrait pas bien non plus avec Ismaël Emelien, un autre proche du président dont le départ est prévu pour la fin du mois de mars. Or il se pourrait bien qu'Alexis Kohler suive le même chemin. Selon Reuters, c’est Nicolas Revel, directeur de la Caisse nationale d’assurance maladie, qui succèdera à l’actuel secrétaire général.

Pour Emmanuel Macron, c'est un coup dur qui s'annonce prédit Philippe Grangeon. Evoquant les deux piliers de la vie du président , il assure : "Si ces piliers vacillaient, alors le président serait déstabilisé."