
La force d'Aldi réside dans ses petits prix. Face à l'inflation, de nombreux Français se tournent vers Aldi pour bénéficier de tarifs avantageux. Afin de toucher un public toujours plus large, Aldi poursuit son...
Contrairement à la plupart des tribunes et analyses qui se pencheront, le 24 février prochain, sur la première année du conflit russo-ukrainien, l’accès aux archives classées « secret-défense », dans plusieurs dizaines d'années, mettra fort probablement en évidence que la vraie date charnière est celle du dernier sommet Macron-Poutine. Ce 7 février, Emmanuel Macron, alors président de l'Union européenne mais aussi candidat à sa propre succession en France – ce qui le rend vulnérable auprès de Poutine – a la possibilité d'éviter le déclenchement de ce conflit. Un conflit qui, depuis, ne cesse donner lieu à des surenchères successives. La faute à son entourage, à un manque de courage ? Impossible, à ce jour, de répondre à ces questions mais des sujets comme la sécurité de l’Ukraine, la Crimée, les limites de l’Otan, le transit du gaz en Europe de l'Est, et bien entendu les accords de Minsk constituaient alors les points forts d’un accord possible qui, semble-t-il, au cours de cet entretien, avait associé le président ukrainien.Le 24 février, les troupes russes entrent en Ukraine. De Gaulle nous enseignait ce qu'il faut en penser quand, en 1967, il disait clairement aux Israéliens...