
Depuis sa création au début du siècle dernier, le milieu de la bande dessinée n’a jamais cessé de vendre. Un champ d’action en constante évolution qui ne faiblit donc pas. Si certains sont nostalgiques des...
Le bilan n'est encore que provisoire mais dépasse déjà les 5 000 morts, ce matin du mardi 7 février. La veille, un tremblement de terre de magnitude 7,8 – et ses puissantes répliques, dont un deuxième séisme à peine moins fort – a ravagé des régions entières de Turquie et de Syrie, causant des milliers de blessés, détruisant habitations et monuments historiques. Face à l'urgence, l'ampleur des dégâts et les recherches rendues difficiles, Ankara et Damas ont appelé la communauté internationale à l'aide.
⋙ Carte des secousses : pourquoi le séisme en Turquie et en Syrie est-il si dévastateur ?
Aussitôt, de nombreux pays ont offert assistance à la Turquie. Ils seraient déjà quarante-cinq pays, selon le président Recep Tayyip Erdogan. Les premières équipes de secouristes sont arrivées dès mardi en provenance notamment de pays européens, comme la France, la Bulgarie, la Croatie ou encore la Pologne, mais aussi du Qatar. Malgré leurs relations tendues, la Grèce et la Suède ont promis leur soutien à Ankara, tout comme les États-Unis, la Chine et la Russie.
Même l'Ukraine s'est dit, par la voix du président Volodymyr Zelensky, "prête à fournir l’aide nécessaire" à la Turquie qui, depuis le début (...)