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Trois jours après que François Hollande a officiellement mis fin à leur relation, Valérie Trierweiler s'est confiée à quelques journalistes. Selon elle, le pouvoir pourrait être à l'origine de sa rupture avec le président.

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Après avoir donné une conférence de presse lundi matin à Bombay (Inde), au cours de la laquelle elle a été quelque peu avare de détails, Valérie Trierweiler s’est finalement montrée plus prolixe dans la soirée. Quelques heures après une première intervention médiatique très attendue, l’ex-compagne du président François Hollande a en effet accepté de se livrer un peu plus. Devant une dizaine de journalistes, elle est ainsi revenue sur sa récente séparation avec le chef de l’Etat. "S’il n’avait pas été président, peut-être serions-nous toujours ensemble", a-t-elle affirmé, ont rapporté les quelques médias alors présents dont RTL et I-télé. "Ma séparation est une rupture, pas un licenciement. Il n’y a pas eu de préavis", a-t-elle ensuite souligné avant de préciser la nature de sa nouvelle relation avec François Hollande : "Nous ne sommes pas en guerre, on se téléphone".

Elle se dit "vaccinée" de l’univers "inhumain" et "hypocrite" de la politiqueQuant à son avenir, lequel suscite actuellement nombre de questions, Valérie Trierweiler a martelé qu’elle poursuivrait son engagement humanitaire, et prévenu qu’elle ne reviendrait pas à ses premières amours, le journalisme politique. Se disant "vaccinée" de cet univers "inhumain" dans lequel règne la "trahison", l’ex-locataire de l’Elysée souhaite désormais garder ses distances. Dans un premier temps, elle devrait donc poursuivre la chronique littéraire qu’elle tient dans Paris Match.

"Forcément, je vais bien aujourd’hui mais dans un mois, qui sait""Lorsqu’on m’aura vu 2 ou 3 fois faire mes courses, je pense que les paparazzis s’arrêteront", a-t-elle également expliqué à propos de sa nouvelle vie "soudaine". "Forcément, je vais bien aujourd’hui mais dans un mois, qui sait (…) Il est peut-être plus facile de se confier à 12 000 km", a-t-elle cependant déclaré quant à son état de santé, avant d’indiquer qu’il lui faudra encore "un peu de repos et de temps".

Se refusant à tout bilan de ses quelques mois passés dans les chaussures de la Première dame de France, Valérie Trierweiler a cependant affirmé qu’elle ne sortirait "pas de cette expérience de la même façon qu’avant".