Léa Salamé : ses très étonnantes confidences sur son compagnonAFP
La journaliste Léa Salamé s'est récemment confiée dans une interview. Elle a notamment évoqué son conjoint, Raphaël Glucksmann, qui fait l'objet de confidences pour le moins inattendues...

Léa Salamé : elle pourrait tout arrêter

Dans une interview accordée à Gala, la journaliste Léa Salamé, a mentionné le récent choix de son conjoint, Raphaël Glucksmann de se lancer en politique. En effet, ce dernier a fondé le mouvement Place publique, en vue des élections européennes. De ce fait, la présentatrice de l’Emission politique pourrait bien "être contrainte de mettre sa carrière entre parenthèses", assure le magazine.

"Si je juge à un moment qu’il y a conflit d’intérêts, j’arrêterai !", confirme en effet Léa Salame. Elle assure soutenir et accompagner l’essayiste dans ses réflexions. Seulement, elle tient à sa neutralité politique, "personne ne sais pour qui je vote", indique-t-elle.

D’ailleurs, lorsque la journaliste Catherine Ceylac lui demande si elle partage les mêmes convictions que Raphaël Glucksmaan, la présentatrice de Stupéfiant lui répond "certaines, oui, d’autres non !", avant d’ajouter qu’ "en 2019, une femme n’a pas forcément le cerveau de son mari !"

Léa Salamé : prête à se sacrifier pour Raphaël Glucksmann ?

"C’est une question difficile qui se pose plus souvent aux femmes, auxquelles on demande alors de sacrifier leur vie professionnelle", déplore Léa Salamé. Cela n’empêche pas la journaliste de France 2 d’encourager Raphaël Glucksmann, "comme on encourage quelqu’un que l’on aime".

Son homologue Audrey Pulvar a d'ailleurs vécu une histoire semblable, évoquée dans Gala. Alors qu’elle était en couple avec le politicien Arnaud Montebourg, la journaliste "n’avait pas été reconduite à la rentrée 2012 […] après l’annonce de l’entrée au gouvernement de son compagnon", qui était devenu ministre de l’Economie.

Une relation très critiquée lors de la campagne présidentielle de François Hollande et dont la rupture a été annoncée en décembre de la même année par l'AFP, après un SMS envoyé par Audrey Pulvar à l'agence. L'ex journaliste s'est d'ailleurs exprimée sur le sujet, n'hésitant pas à rappeler sur twitter qu'à la différence de Léa Salamé, sa situation n'avait rien d'un choix...