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Depuis bientôt une semaine Valérie Trierweiler séjourne à La Lanterne. Outre le confort et la discrétion qu'offre cette résidence des Yvelines, la compagne du président aurait demandé à y aller pour une raison bien particulière.

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Après une semaine d’hospitalisation à la Pitié-Salpêtrière (Paris), Valérie Trierweiler a pris samedi dernier le chemin de la Lanterne à Versailles (Yvelines).  Victime d’un gros coup de blues après les révélations de Closer sur la prétendue relation entre François Hollande et Julie Gayet, la compagne du président aurait besoin de se reposer à l’abri des regards. Et alors que cette résidence est isolée de toute l’agitation médiatique qui entoure cette "love affair", Valérie Trierweiler aurait démandé à pouvoir y aller pour trouver le calme qui lui est nécessaire. C’est en tout cas ce qu’assure un conseiller de l’Elysée cité dans la dernière édition du Canard Enchaîné. "Elle ne voulait pas retourner dans leur appartement du XVe appartement", a-t-il confié avant de préciser qu’elle était entourée d’une "amie en permanence à ses côtés".

Un autre facteur expliquerait également pourquoi Valérie Trierweiler aurait voulu se rendre à La Lanterne plutôt qu’ailleurs. Toujours selon l’hebdomadaire satirique, il s’agirait de la présence sur place d’une "sécurité renforcée" mais aussi et surtout, de celle d’un "médecin militaire de garde". La compagne du président craindrait-elle une rechute ?

Elle "peut se montrer très nuisible" 

"C’est à croire que Hollande ne se rend pas compte que c’est ce mélange moyens publics-vie privée que les Français n’apprécient pas", a par ailleurs raillé le conseiller de l’Elysée. En effet, le statut de Valérie Trierweiler n’a toujours pas été clarifié par le président – lequel s’est engagé à le faire d’ici le 11 février – et en attendant celle-ci continue de bénéficier des privilèges comme celui de pouvoir séjourner à La Lanterne. Le Canard Enchainé croit cependant savoir que François Hollande serait décidé à s’exprimer "au plus vite". Mais de son côté, la journaliste de Paris Match ne voudrait rien lâcher. Pas question pour elle de "se laisser jeter n'importe comment", a soufflé ce même conseiller. "Valérie peut se révéler terriblement nuisible avec des tweets, des interviews ou un livre", aurait quant à lui prévenu un grand élu de la majorité.