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Depuis deux jours, le bruit court que Valérie Trierweiler aurait saccagé le bureau présidentiel de François Hollande après avoir découvert les révélations de Closer sur sa prétendue relation avec l'actrice Julie Gayet. Au total, les dégâts s'élèveraient à près de trois millions d'euros.

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Valérie Trierweiler a-t-elle été victime d’un accès de rage lorsqu’elle a découvert les révélations de Closer sur la supposée liaison de François Hollande et Julie Gayet ? Si l’on sait avec certitude que la compagne du chef de l’Etat a été victime d’un gros coup blues et a même dû être hospitalisée une semaine, le bruit court également qu’elle aurait fait une crise d’hystérie dans le bureau présidentiel de François Hollande. Partie d’une lettre anonyme publiée sur le web, cette rumeur dit que le 10 janvier dernier, le chef de l’Etat et sa compagne se seraient violemment opposés. Furieuse, Valérie Trierweiler, aurait alors eu la main lourde et n’aurait pas hésité à projeter des vases, pendules et autres objets d’arts exposés dans le bureau du président. Le total des dégâts causés pendant cette dispute aurait par ailleurs, et toujours selon la rumeur, été chiffré à 3 millions d’euros.

Le Mobilier national dément tout acte de vandalismeAprès avoir laissé ce bruit se propager sur la toile pendant deux jours, le Mobilier national, prestigieuse institution chargée de meubler les bâtiments officiels de la République française, s’est finalement exprimé. Démentant "catégoriquement" tout saccage à l’Elysée, il a en effet posté sur sa page Facebook un message qui ne laisse place à aucun doute: "Le Mobilier national oppose un démenti catégorique à la rumeur qui circule sur Internet, relative à une supposée destruction de mobilier au palais de l’Elysée. Cette rumeur repose sur des éléments totalement mensongers". De son côté, Le Figaro croit savoir que l’entourage du président pourrait, lui aussi, s’exprimer sur le sujet au cours de la journée.