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François Hollande assure en ce moment la promotion de son livre Les Leçons du pouvoir. Dans cet ouvrage, l'ancien président réserve une partie aux femmes qui ont traversé sa vie, et notamment à la mère de ses enfants : Ségolène Royal.

Entre François Hollande et Ségolène Royal, c’est une histoire de près de 40 ans. Dans son dernier livre, Les Leçons du pouvoir, l’ancien président ne pouvait donc pas ne pas aborder celle qui a par ailleurs été sa ministre.

L’ancien locataire de l’Elysée évoque une "mère formidable", et surtout une partenaire à laquelle il est lié à jamais par la famille qu’ils ont fondée. "Nous n’étions pas mariés, nous avions quatre enfants et cet engagement familial valait tous les parchemins", écrit François Hollande qui a d’ailleurs intitulé le chapitre consacré à sa vie privée : "Mariage pour tous, sauf pour moi".

L’ancien président a aussi des mots pour ses enfants, et regrette. "Je n’ai jamais admis que mes enfants, que j’aime le plus au monde, puissent être soumis à cette exposition. Ils n’ont rien demandé. Ils n’ont d’ailleurs rien reçu sinon de l’affection. Ils mènent leur vie professionnelle en toute indépendance", confie-t-il par écrit tout en ajoutant qu’il existe toujours avec eux une grande tendresse.

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Les autres femmes

Dans ce chapitre consacré à celles qu’il a aimées, François Hollande écrit aussi sur Valérie Trierweiler, avec qui il a été difficile de reprendre contact. Il confie que son livre, Merci pour ce moment, a été douloureux et écrit : "C’était sans doute son intention. Nous avons mis du temps pour échanger de nouveau". De ce qui a précipité leur relation, il assure que ce n’est pas simplement l’"entrée" de Julie Gayet dans sa vie, qui en responsable. "Quelque chose s’est brisé", le jour où Valérie Trierweiler a tweeté son soutien à Olivier Falorni, en concurrence avec à Ségolène Royal pour les législatives. "J’avais tracé une ligne de séparation entre vie personnelle et vie publique : elle l’effaça en un instant", détaille-t-il.

Aujourd'hui leurs relations sonr plus appaisées et François Hollande ajoute ainsi qu'il a "été sensible au mot déli­cat qu’elle [lui a] adressé le dernier jour de [son] mandat."