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Interrogée dimanche sur la sortie d'Emmanuel Macron à Orléans pour honorer Jeanne d'Arc, Anne Hidalgo a dit "s'en battre". Elle n'est cependant pas la seule à avoir sorti des grossièretés en public.
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"Rien à battre"

Interrogée dimanche par LCI sur l'ouverture aux piétons des Champs-Elysées, le maire de Paris s'est tout d'abord félicité de l'engouement des Parisiens et des touristes pour un tel évènement. Mais quand un journaliste de la chaîne lui parle d'Emmanuel Macron qui présidait en même temps une cérémonie pour Jeanne d'Arc, Anne Hidalgo change de tête. "Je suis maire de Paris, et les itinéraires des uns et des autres, les petites phrases des uns et des autres, je vais vous dire, j’en ai rien à battre".

"Des bruits de chiottes"

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Invitée en mars sur la radio France Info, Najat Vallaud-Belkacem n'a pas eu sa langue dans sa poche au moment de commenter les rumeurs faisant état d'un départ de Manuel Valls de Matignon. "Cela fait bientôt vingt ans que je fais de la politique et je ne me suis jamais prêtée aux bruits de chiottes qui consistent à raconter des choses qui n'ont pas à être racontées", a-t-elle lâché devant le journaliste étonné de cette réponse.

"J'ai craché ma race"

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Invité la veille sur BFMtv, Jean-Luc Mélenchon a été plus loin en répondant à un internaute qui, sur les réseaux sociaux, avait ironisé sur le fait qu’il donne des leçons pour créer de l’emploi alors qu’il n’a jamais travaillé. "C’est le genre de truc démago que je vais lui remettre dans sa petite tête (…) J’ai été journaliste, pigiste permanent, c’est-à-dire que j’ai craché ma race pour pouvoir ramasser du fric et m’occuper de ma famille…", a répondu plein de fougue l'ancien leader du Front de gauche.

"Greffage de couilles"

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Dans un portrait de Nathalie Kosciusko-Morizet publié lundi dans le Monde, on apprenait qu'en privé, la nouvelle candidate à la primaire des Républicains ne mâchait pas ses mots. "Je m’en fous d’être minoritaire à un moment donné ! Cela ne signifie pas qu’on a tort sur le long terme", justifiant son analyse par le fait qu’elle est en "mode greffage de couilles".

"Détendu du gland"

Invité fin février au "Grand journal" de Canal + pour parler de sa candidature à la primaire des Républicains, Bruno Le Maire avait eu cet échange avec la présentatrice, qui rappelle les propos célèbres de Depardieu dans Les Valseuses : "Vous avez choisi cette photo pour la couverture de votre livre [où l'on peut voir Bruno Le Maire assis sur un trottoir, les jambes écartées, Ndlr], simple et proche, lui lance la journaliste. Un peu - si vous me permettez la comparaison à un film - "On est pas bien là, à la fraîche". "A la cool", rétorque Bruno Le Maire avant de lâcher les phameux mots "détendu du gland".