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Alors que Rachida Dati est sous le coup d'une expulsion du groupe Les Républicains au Conseil de Paris, (re)découvrez ces hommes politiques qui ont été virés comme des malpropres de leur parti.
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Rachida Dati

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Le maire du VIIe arrondissement de Paris avait jusqu'à dimanche pour régler ses cotisations en retard du groupe Les Républicains du Conseil de Paris, ce qu'elle n'a pas fait. En conséquence, elle s'est mise sous le coup d'une exclusion du groupe d'ici les prochains jours. "Nous considérons qu'elle s'est elle-même exclue du groupe" a indiqué à l'AFP un porte-parole des Républicains au conseil de Paris.

Rama Yade

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Vendredi dernier, l'ancien secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme et aux Sports sous Sarkozy a officiellement été exclue du Parti radical (une composante de l'UDI). En cause, sa "volonté de dénigrer les instances du parti mettant en gravement en cause l'image du parti", a indiqué, entre autres, la commission du discipline du PR.

Jean-Marie Le Pen

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Sans doute le plus emblématique parce que le plus inattendu. Le 20 août dernier, Jean-Marie Le Pen qui avait fondé le Front national en 1972 en a été exclu suite à ses propos sulfureux parus dans le journal d'extrême droite Rivarol

Jérôme Cahuzac

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En avril 2013, le Bureau national du PS a exclu à l'unanimité Jérôme Cahuzac du PS après qu'il a avoué avoir détenu un compte caché en Suisse. 

Christian Vanneste

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En février 2012, le député UMP du Nord avait estimé dans une vidéo diffusée sur Internet qu'il n'y a "pas eu de déportation homosexuelle en France", pendant la Seconde Guerre mondiale. Des propos aussitôt condamnés par la classe politique, jusque dans son propre parti dont il a été exclu par la suite.

Olivier Falorni

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Lors des législatives en 2012, le socialiste Olivier Falorni avait décidé de se présenter en Charente-Maritime et ce malgré la candidature officielle de Ségolène Royal pour le PS. Estimant celle-ci "parachutée", Olivier Falorni avait mené jusqu'au bout sa candidature provoquant son exclusion du parti. Au final, il avait remporté cette élection devant Ségolène Royal.

Georges Frêche

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En 2007, le PS a exclu le président de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche. L'ancien maire de Montpellier avait critiqué le nombre important de joueurs noirs en équipe de France de football. Ces mots "ne sont pas compatibles avec les valeurs d'égalité et de respect des droits humains qui fondent depuis toujours l'engagement du PS", avait écrit le PS pour justifier sa décision.

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