En cas de décès, la pension de réversion peut être accordée aux proches du défunt. Qui peut en bénéficier et à quelles conditions ? On fait le point.
Depuis les attentats de novembre avec notamment, la prolongation de l’état d’urgence et le projet d’inscription de la déchéance de la nationalité dans la Constitution, le Manuel Valls est accusé par une partie de la majorité de "droitiser" son discours. Une critique qui a même dépassé nos frontières. En effet, alors qu’il était interrogé par un journaliste de la télévision suisse, RTS, mardi, le Premier ministre a eu droit à une question sur son orientation politique. "Il y a des côtés de droite chez vous, visiblement", lui a lancé son interlocuteur. Ce que le chef du gouvernement n’a pas nié. Au contraire, il a même assumé cette "part de droite". "Mais chez chacun d’entre nous ! Moi ma famille c’est la gauche, j’ai toujours été à gauche", a-t-il d’abord rappelé, avant d’expliquer : "Mais je ne considère pas qu’être de droite c’est une insulte, je ne suis pas sectaire !".
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"Les concepts peuvent parfois changer"Soucieux de démontrer qu’il est bien un homme de gauche, Manuel Valls a poursuivi en arguant : "il y a une demande d’ordre, une demande d’autorité. Je croise que ce sont deux valeurs de gauche et pas forcément de droite". Et le Premier ministre de conclure en envoyant une pique à l’ancien président de la République. "C’est quand même sous mon gouvernement et sous François Hollande que l’on a augmenté le nombre de policiers, de gendarmes et de juges, alors que sous la présidence de Nicolas Sarkozy on les avait délaissés. Alors vous voyez, ces concepts parfois, ils peuvent changer", a-t-il fait valoir.
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