Macron et les chants pyrénéens : le drôle d’extrait qu’il ne fallait pas manquerCopyright : Zuma/ABACAabacapress
Le président de la République essaye-t-il de séduire les électeurs de Jean Lassalle ? A l'occasion d'un déplacement officiel dans les Pyrénées, il a décidé de pousser la chansonnette.

En déplacement dans le Sud-Ouest, Emmanuel Macron n’a pas manqué de se faire remarquer. Et pour cause ! Le président de la République a décidé de s’illustrer auprès d’un comité d’accueil d’un genre un peu particulier, informe Le Figaro sur son site. Reçu par Gaëlle Vallin, la maire d’Argelès-Gazost, le chef de l’Etat se déplaçait dans ses “Pyrénées chéries” à l’occasion du Tour de France dont c’était alors la 18 étape. Devant une série d’élus, de commerçants et de représentants associatifs, Emmanuel Macron a commencé à chanter, reprenant le refrain entonné par une chorale improvisée à quelques pas de là. 

Emmanuel Macron entonne un chant traditionnel des Pyrénées : l’extrait vidéo à ne pas manquer

La chorale, informe La Dépêche sur son site, était composée d’une dizaine de bergers et a donné de la voix pour un chant très spécifique : il s’agissait alors d’un air traditionnel pyrénéen. Quand il a commencé à se joindre aux chanteurs, le président a eu droit à son propre béret… et n’a su retenir un rire gêné. D’après nos confrères, le malaise du président était palpable. Le titre de presse va jusqu’à dire qu'Emmanuel Macron ne connaissait “visiblement pas bien les paroles de ce chant typique”.

Des informations qui entrent en contradiction évidente avec celles du Figaro. Si le quotidien ne revient pas particulièrement sur la gène supposée du chef de l’Etat, il s’attarde en revanche davantage sur la flamme que celui-ci a déclaré à cette région qui était celle de sa grand-mère. En outre, poursuit le titre national, ce serait le président lui-même qui serait allé voir la chorale pour leur demander l’occasion de chanter une dernière chanson… dont il connaîtrait les paroles sur le bout des doigts. Le texte, poursuivent nos confrères, est d'Edmond Duplan : il s’agit du Refuge.