
Depuis sa création au début du siècle dernier, le milieu de la bande dessinée n’a jamais cessé de vendre. Un champ d’action en constante évolution qui ne faiblit donc pas. Si certains sont nostalgiques des...
Dur retour de bâton pour François Hollande. L’ancien président de la République n’a pas fait de vague pendant l’été, mais ça ne l’a pas empêché de suivre la vie politique avec grand intérêt. Et de parfois s’agacer de certaines remarques.
Paris Match, révèle ainsi que ce que beaucoup ont qualifié au début de l’été d’"effet Macron", a "vraiment énervé" François Hollande.
Ce dit effet, c’est le taux chômage qui retrouve son niveau de 2012 et une croissance qui va mieux. On parle même d’embellie économique. Sauf que dans toutes ces analyses, François Hollande, qui vient de faire cinq ans de mandat, s’estime oublié. Et pour en rajouter une couche, au mois de juillet, le nouveau gouvernement ne manque pas de tacler l’ancien président sur les comptes publics. "Le dérapage dont nous héritons est inacceptable", tancera même le Premier ministre Edouard Philippe.
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En plus de se sentir écarté des jolis chiffres français, François Hollande estime que les médias chouchoutent plus Emmanuel Macron. A Jean-Pierre Jouyet, le compagnon de Julie Gayet a ainsi confié : "J’aurais abandonné des promesses au bout de deux mois, j’aurais été étrillé par la presse. Lui, on lui pardonne tout…"
Et dans la relation Emmanuel Macron-médias, François Hollande a clairement fait son choix. Alors que le président a été critiqué sur sa mise a distances des journalistes tout l’été, il a également eu droit à un joli tacle de son prédécesseur. A un journaliste d’Europe 1 qui lui faisait remarquer fin août qu’il était particulièrement disponible pour les médias, François Hollande a répondu : "Si je ne l’avais pas fait, on aurait dit que je ne laissais pas les journalistes travailler. Moi, je laisse les journalistes travailler".
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