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Relativement peu connu du grand public, Daniel Fasquelle a réussi, à l’occasion du campus des Jeunes républicains qui s’est tenu à la fin du mois dernier au Touquet, à faire entendre sa voix. Le député du Pas-de-Calais et trésorier LR promet de remettre son mandat en jeu après 2 ans et demi s’il est élu et vise les 500.000 militants. Au Figaro, il expliquait vouloir "faire du En Marche à droite", pour une droite "de nouveau en phase avec la société". Au cours de la précédente législature, il s’est notamment opposé au projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe.
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Laurent Wauquiez incarne la ligne conservatrice des Républicains. Dans cette course à la présidence du parti, c’est lui qui part comme grand favori. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a les faveurs de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux ou Eric Ciotti. Ses idées risquent toutefois de faire des remous au sein du parti et certains prédisent même une scission s’il est élu. Les menaces de départs s'additionnent depuis quelques jours. Accusé de courir après l’extrême droite, il veut remettre le travail et les classes moyennes au centre.
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Laurence Sailliet est la ‘’nouvelle’’ personnalité de cette élection. Peu connue du grand public, elle s’est présentée aux trois dernières élections législatives, mais sans succès. Sans mandat actuel, elle est toutefois au bureau politique LR depuis 2011. Jouant les indépendantes, hors des écuries traditionnelles, elle s’adresse directement à ses potentiels électeurs en voulant les remettre au cœur du parti. Dans une interview à Atlantico, elle n’a pas nié sa proximité avec Xavier Bertrand.
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Florence Portelli est la deuxième femme de cette élection. Elle s’inscrit dans une ligne plutôt traditionnelle, et pour cause. Elle a été la porte-parole de François Fillon pendant sa campagne présidentielle. Face à Laurent Wauquiez, elle pourrait selon un cadre du parti cité par Le JDD, incarner une ligne moins tranchée et donc peut-être plus susceptible de rassembler. Elle mise sur "la vraie droite sociale".
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La présidence d’Emmanuel Macron a fait mal aux juppéistes, en démontre le choix d’Edouard Philippe au poste de Premier ministre. Au sein des Républicains, ils ont du mal à faire entendre leur voix, mais une personnalité se détache : Maël de Calan. Ce dernier pourrait se présenter et il a d’ailleurs tout l’appui d’Alain Juppé, mais pas seulement… La Croix assure notamment que Valérie Pécresse aurait assisté à un séminaire à huis clos de la garde rapprochée d’Alain Juppé.
Maël de Calan devrait confirmer la première semaine de septembre s'il se présente ou non à la présidence des Républicains
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Après l’officialisation de Laurent Wauquiez, Bruno Retailleau a laissé entendre qu’il pourrait se porter candidat. Ce n’est que mi-septembre qu’il fera part de son choix aux Républicains.Patron des sénateurs Républicains, Bruno Retailleau est aussi le président de la région Pays de la Loire. Il est proche de François Fillon et est membre de Force Républicaine, le micro parti qu’a fondé par l’ancien candidat à la présidentielle.
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