
Une nouvelle loi, adoptée par l’Assemblée nationale ce mercredi, vise à un meilleur encadrement des super promos dans nos supermarchés. Une mesure qui pourrait entraîner des changements dans notre quotidien....
Une conférence tarifiée vivement critiquée
Alors que Jean-François Copé a été rapidement pris pour cible par les ténors du Parti Socialiste, il a déclaré qu’il "assume totalement" le fait d’avoir participé à ce forum et d’avoir été payé. Du côté de la majorité, c’est le Premier secrétaire du PS, Harlem Désir, qui a lancé l’offensive : "Il est contraire à l'éthique de monnayer son image, et peut-être son influence, de dirigeant politique français, en échange de sommes d'argent sur lesquelles n'existe aucune forme de transparence". Le chef de file de la majorité à l’Assemblée Nationale, Bruno Le Roux a également dénoncé ce "mélange des genres". "Je trouve ça choquant (...), quand on est député, quand on est président d'un parti politique, que l'on aille à l'étranger faire des conférences, faire l'aller-retour pour partir avec un chèque de je ne sais pas exactement combien", a-t-il ensuite ajouté.
Les conférences payées sont monnaies courantes
Ce n’est pas exceptionnel que des responsables politiques soient payés pour participer à des conférences et faire part de leurs vécus et de leurs expertises. Et pour cause, Jean-François Copé n’était pas le seul invité. L’ancien secrétaire des Nations Unis, Kofi Annan, l’ancien Premier ministre belge ,Guy Verhofstadt, ou encore l’homme d’affaires, Matthieu Pigasse, (coactionnaire du groupe Le Monde) étaient en effet de la partie.
Ces conférences tarifiées sont également courantes pour les anciens chefs d’Etats, comme Bill Clinton, Tony Blair, Nicolas Sarkozy mais aussi le socialiste Michel Rocard…
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