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Le journaliste et éditorialiste Bruno Roger-Petit a été nommé porte-parole de la présidence. Cette nomination ne se fait pas sans controverse, Planet vous donne cinq éléments de réponses.
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Un twittos bien connu

Pour mener à bien sa mission, la présidence a précisé que Bruno Roger-Petit pourra notamment utiliser le compte Twitter de l’Elysée. Ironie de l’histoire, peu après l’annonce de sa nomination, Bruno Roger-Petit a supprimé son compte Twitter. Le nouveau porte-parole est bien connu de la plateforme ou sa nomination a suscité de vives réactions.

Un soutien de toujours à Emmanuel Macron

Bruno Roger-Petit a écrit de nombreux éditos pour le site internet de Challenge mais certains papiers n’ont pas vraiment plu à la Société des journalistes (SDJ). Elle s’était notamment inquiétée dans un communiqué d’un manque d’équilibre dans la ligne éditoriale du site, qui penchait trop ostensiblement, selon elle, en faveur d’Emmanuel Macron. Outre ce soutien dans les mots, Bruno Roger-Petit était présent à la soirée qui a eu lieu à la Rotonde après le premier tour de l’élection présidentielle, comme le note Le Figaro.

Des clashs au gouvernement ?

C'est Le Lab qui relève cette anecdote. Bruno Roger-Petit n’est pas vraiment un grand fan de Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie. Dans un édito de Challenge, il se demandait en titre il y a peu : "Pourquoi Le Maire est un boulet pour Macron et Philippe". La conclusion était sans appel : "Bruno Le Maire est un classique intemporel de la vie politique à la française. Le jeune lion devenu vieux avant que d'être vraiment vieux".

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Un passionné de football

Bruno Roger-Petit n’écrit pas seulement sur la politique, c’est aussi un passionné de football. Le nouveau porte-parole de la présidence a parfois livré des analyses très tranchées et cela lui a valu des critiques régulières.

Des ennemis

Bruno Roger-Petit est passé au cours de sa carrière par les rédactions d’Antenne 2, dont il a été évincé, Europe 1, i-Télé, C8, entre autres, mais il a également publié des chroniques sur Le Post, le NouvelOb s et Challenge. Qu’il s’agisse de football, de politique ou d’analyse des médias, le ton parfois acide de BRP ne plait à tout le monde. Dans certaines chroniques par exemple, il s’est montré très critique envers David Pujadas, Frédéric Taddei ou encore Cyrille Eldin.

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