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Une semaine après que Valérie Trierweiler a confié qu'elle avait eu l'impression de "tomber d'un gratte-ciel" en découvrant les révélations de Closer sur la "love affair" de François Hollande, Ségolène Royal s'est laissée aller à ironiser sur sa réaction.

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Sept ans après que François Hollande l’a quittée pour Valérie Trierweiler, Ségolène Royal a désormais l’occasion de se venger de celle qui a "bousillé sa famille". En effet, depuis les révélations de Closer sur la prétendue liaison du président et de l’actrice Julie Gayet, la journaliste de Paris Match accuse le coup tant bien que mal. Officiellement séparée du chef de l’Etat depuis que ce dernier l’a annoncé par communiqué, l’ex-Première dame tente de se reconstruire à l'abri des regards dans son appartement de la rue Cauchy (Paris, XVe).

"Il ne faut rien exagérer"Et si la présidente de la région Poitou-Charentes s’est jusqu’à présent abstenue de sauter sur cette occasion pour commenter l’affaire et ainsi se venger, il semblerait qu’elle ait récemment changé d’avis. "En ce qui me concerne, je ne veux pas alimenter d’une quelconque petite phrase un feuilleton qui est très éloigné des préoccupations des Français, il faut tourner la page et se remettre au travail", avait-elle en effet déclaré début janvier sur France 2. Bien éloignée de ces précédents propos, Ségolène aurait plus récemment, et selon un indiscret du Canard Enchaîné, ironisé sur la détresse de Valérie Trierweiler. Alors que cette dernière a confié au magazine qui l'emploie : "quand j’ai su, j’ai cru tomber d’un gratte-ciel", l’ex-compagne de François Hollande et mère de ses quatre enfants aurait lâché à l’un de ses proches : "Il ne faut rien exagérer. Ce n’est quand même pas le 11 septembre !".

La semaine dernière, l'hebdomadaire satirique révélait par ailleurs que Ségolène Royal comptait bien profiter de l'éviction de Valérie Trierweiler pour revenir sur le devant de la scène politique. Se sentant désormais plus libre concernant ses ambitions, elle aurait en effet indiqué:  "J’ai toujours pensé que j’avais une place dans le dispositif. Je suis prête à jouer un rôle, sinon j’aurais quitté la politique".

Vidéo - Ségolène Royal et Valérie Trierweiler : des relations sous haute tension