Johnny Hallyday : ces millions d’euros qu’il devait au fiscAFP
L'idole des jeunes aura laissé de nombreuses chansons à ses fans. En revanche, il n'a pas légué qu'une querelle d'héritage à ses proches. A certains, il a aussi laissé… Des dettes.

Johnny Hallyday : il devait 11 millions d’euros au fisc

C’est Laurence Pieau et François Vignolle qui révèlent l’énorme dette du chanteur. Dans leur ouvrage intitulé Laeticia, la vraie histoire, publié ce vendredi 12 octobre aux éditions Plon, ils expliquent pourquoi "le fisc réclame 11 millions d’euros à l’épouse de Johnny".

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"Laeticia doit payer le personnel employé sur les résidences de Pacific Palisades, de Saint-Barth et de Marnes-la-Coquette", expliquent les deux auteurs dans le livre dont Le Parisien dévoile quelques extraits. La veuve du taulier doit également "s’acquitter des frais de scolarité de Jade et Joy au lycée français de Los Angeles, mais aussi régler les honoraires d’avocats pour la procédure judiciaire et les autres dossiers afférents à la carrière de Johnny".

Ce n’est pas tout. Laeticia, la vraie histoire évoque également "un certain nombre de créances jamais recouvrées dont Laeticia hérite". C’est pour cela que son avocat, maître Ardavan Amir-Aslani "négocie avec Bercy un échelonnement raisonnable de ce remboursement".

Les 11 millions que Johnny Hallyday devait au fisc : Laeticia bientôt ruinée ?

"Que restera-t-il du patrimoine de Laeticia, évalué à un trentaine de millions d’euros une fois que les impôts auront passé leur grand coup de rabot ?" Laeticia Hallyday risque-t-elle la faillite ? C’est l’une des questions abordée par les deux écrivains qui ne semblent pas excessivement optimistes, rapporte le quotidien d’Île-de-France qui publie les bonnes feuilles du livre-enquête.

"Certes l’album posthume de Johnny promet de produire de généreux – voire historiques – bénéfices. Laeticia touchera les 800 000 euros de droits d’interprètes annuels", écrivent-ils. Toutefois…. "Mais certaines chansons vont tomber dans le domaine public, cinquante ans après leur premier enregistrement, et ne plus rapporter de royalties à l’ayant droit", affirment-ils.