Nikos Aliagas, Iris Mittenaere, Marc Lavoine... Saviez-vous que ces stars du petit écran avaient des accessoires fétiches ?
Ils ont beau mener des carrières exemplaires à la télévision, certaines stars du petit écran ont des petits grigris ou des rituels avant de prendre l’antenne. Découvrez les porte-bonheurs dont ne se séparent jamais ou presque nos stars de télé.

Et si leurs incroyables carrières n’étaient dues qu’a un petit objet qu’il garde toujours sur eux ou un petit rituel qu’ils répètent chaque jour. Qu’ils soient animateurs de télé, journalistes, chanteurs ou comédiens, nos stars de télé sont pour certaines quelque peu superstitieuses. Bien sûr, ils doivent leurs carrières à la fois à leur travail acharné, à leur talent, mais aussi un peu à la chance. C’est pourquoi même après plus de 20 ans de carrière, certaines célébrités du petit écran gardent toujours sur eux un petit objet fétiche.

Le sous-vêtement porte-bonheur de Nikos Aliagas

En 2012, interrogé par Le Parisien, Stéphane Bern dévoilait toujours avoir "un komboloï grec, une sorte de petit chapelet sans croix avec une trentaine de petites billes en lapis-lazuli (une pierre aux teintes bleues. Ndlr)" dans la poche droite de son pantalon. Un grigri sans lequel il ne peut prendre l’antenne sinon il se dit qu’il peut lui arriver "un truc". Superstitieux ce Stéphane Bern ! Mais il n’est pas le seul. Nikos Aliagas, le roi du direct de TF1 ne peut monter sur scène lors d’une grosse émission sans un sous-vêtement précis. De plus, l’animateur de The Voice observe le même rituel grec à chaque fois qu’il s’apprête à monter sur scène comme il le confiait au Parisien en 2012. "La première fois qu'on pénètre sur un plateau, il faut le faire du pied droit, pour éloigner le mauvais œil."

Pour Lara Fabian et Sophie Davant, les objets fétiches desquels elles ne peuvent se passer sont d’ordre plus sentimental et elles ne s’en séparent jamais ou presque parce que cela leur rappelle un être cher. Pour l’une il s’agit de son époux et pour l’autre de sa mère disparue.   

Vidéo du jour

Planet a répertorié les objets fétiches des stars du petit écran dans notre diaporama ci-dessus.

Nikos Aliagas : un porte-bonheur caché sous ses vêtements

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En 2012, pour le journal Le Parisien, l'animateur phare de TF1 avait dévoilé son objet fétiche… Un sous-vêtement ! "Mon caleçon rouge, que je porte systématiquement lorsque j'ai une journée décisive", précisait Nikos Aliagas avant d'expliquer suivre à la lettre un rituel grec : "La première fois qu'on pénètre sur un plateau, il faut le faire du pied droit, pour éloigner le mauvais œil." L’animateur de The Voice avait ajouté au magazine Gala : "Le caleçon rouge, c'est mon talon d'Achille. C'est un peu comme les Italiens qui portent du rouge le soir du Nouvel an pour que ça leur porte bonheur. Je me suis fait un trip, je ne peux pas être sur scène sans lui."

Le porte-bonheur d’Iris Mittenaere qu’elle a caché à un endroit très intime pour le concours Miss France

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Dans l’émission de France 2, Je t’aime, etc, l’animatrice, Daphné Bürki, a interrogé l’ancienne Miss sur un porte-bonheur qu’elle aurait voulu garder à tout prix pendant l’élection : "Vous êtes très attachée à un porte-bonheur. Vous adorez un bracelet, mais ils sont interdits pendant les élections. Du coup, vous l’avez accroché où votre porte-bonheur ?" Ce à quoi Iris Mittenaere a répondu du tac au tac : "Je l’ai cousu dans ma culotte !" Une cachette qui, semble-t-il, était la seule solution possible pour la Miss qui ajoute : "Je n’avais pas de solutions. À Miss France, la seule chose autorisée à porter et qui nous appartient, c’est notre culotte !"

Stéphane Bern a toujours sur lui un grigri d'origine grecque

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"J'ai toujours un grigri porte-bonheur dans la poche droite de mon pantalon", confiait Stéphane Bern au Parisien en 2012. L'animateur de Secrets d’histoire sur France 3 avait donné plus de détails sur cet objet fétiche. "C'est un komboloï grec, une sorte de petit chapelet sans croix avec une trentaine de petites billes en lapis-lazuli (une pierre aux teintes bleues. Ndlr). Je me dis que si je ne l'ai pas sur moi quand je suis à l'antenne il peut m'arriver un truc." À croire que l’expert des têtes couronnées serait un brin superstitieux.

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