AFP
En couple depuis deux ans avec Dominique Strauss-Kahn, elle a su se faire discrète malgré les nombreuses polémiques qui entourent son conjoint. Qui est donc cette mystérieuse femme ?

Depuis deux ans, elle partage la vie d’un des hommes les plus controversés de cette époque. Poursuivi pour "proxénétisme aggravé" dans l'affaire du Carlton, l’ancien patron du FMI a été relaxé ce vendredi par le tribunal correctionnel de Lille. À ses côtés pour le soutenir : Myriam L’Aouffir, une femme d’affaires de 46 ans que tous les médias people présentent comme "Madame DSK".

Depuis mai 2013, date à laquelle Dominique Strauss-Kahn était apparu sur le tapis rouge du 66e Festival de Cannes au bras de sa nouvelle compagne, ils ne se quittent plus. Ces derniers mois, les tourtereaux ont été aperçus à de nombreuses reprises, plus complices que jamais, à l’occasion d’événements officiels tel que le Festival de Deauville, Roland-Garros ou encore la finale de la Coupe de France, qui opposait le PSG à Auxerre, comme le rapporte Paris Match. Main dans la main, le couple n’a pas hésité à afficher son bonheur.

Cadre chez France Télévisions

D’une nature discrète, Myriam L’Aouffir est peu connue médiatiquement. Et pourtant, c’est elle qui tire une partie des ficelles chez France Télévisions. Cadre en charge de la communication au sein du groupe de chaînes de télévision, elle s’occupe en effet de la communication du groupe sur Internet et les réseaux sociaux. Bien avant d’accéder à ce poste, la jolie blonde de 46 ans a suivi des études de Lettres Modernes, d’Audiovisuel et de sciences de l’information et de la communication.

Militante engagée

Mais Myriam L’Aouffir est également une femme engagée. L’une des causes qui lui tient le plus à cœur ? Le développement de l’éducation au sein des milieux ruraux, notamment au Maroc, dont elle est originaire. Un attrait pour ce pays qu’elle partage avec Dominique Strauss-Kahn qui a récemment fait construire un Riad à Casablanca.

Vidéo sur le même thème - Dominique Strauss-Khann en compagnie de Myriam L’Aouffir au festival de Deauville