
Depuis sa création au début du siècle dernier, le milieu de la bande dessinée n’a jamais cessé de vendre. Un champ d’action en constante évolution qui ne faiblit donc pas. Si certains sont nostalgiques des...
Cette plainte, révélée par Mediapart, intervient en parallèle de l'information judiciaire pour assassinat et tentative d'assassinats ouverte en 2005. Une polémique avait éclaté en 2006 quand avait été révélé que 8 Biélorusses, parmi lesquels se trouvaient deux pilotes, avaient été arrêtés par les autorités togolaises quelques jours après le bombardement, puis mis à disposition des services français avant d'être libérés.
Michèle Alliot-Marie avait affirmé qu'il n'y avait alors "pas de base juridique puisque pas de mandat d'arrêt international" pour les interroger. L'avocat des familles de militaires, Me Jean Balan, a accusé à plusieurs reprises Mme Alliot-Marie d'avoir, "dès le début de l'affaire", cherché à "saboter l'action de la justice afin d'éviter, à tout prix, que la vérité ne soit connue".
En mai 2010, l'ancienne ministre avait déjà été entendue pendant 4h par la justice. Lors de son audition par la juge d’instruction du Tribunal aux armées de Paris (TAP), Florence Michon, chargée de l’enquête pour "assassinats, tentative d’assassinats" Michèle Alliot-Marie n’avait donné aucune précision sur le raid ivoirien de 2004.