Placements : quel est le meilleur livret pour doubler votre épargne rapidement ?Istock
Vous aimeriez mettre la crise sanitaire à profit et gonfler le montant de votre épargne ? C'est une très bonne idée. Voici quelques idées de placement pour y parvenir aussi vite que faire se peut.

Placements. Certains ont choisi de s’essayer à la Bourse pour gonfler leur épargne, le temps du confinement. Ils sont nombreux, parmi eux, à l’avoir amèrement regretté. D’autres font donc le même pari… Mais bien plus prudemment. Cela n’a rien d’étonnant ! Il existe en effet des méthodes moins risquées pour toucher fortune. Il faut cependant savoir qu’elles sont généralement moins rapides. Prévoyez donc un peu de temps.

Si vous espériez doubler le montant de votre épargne en quelques années, rapporte MoneyVox, il ne faudra alors pas opter pour le Livret A ou le LDDS, deux placements que semblent apprécier les Françaises et les Français. Leur rémunération est trop faible, quand bien même elle est meilleure que celle de la plupart des livrets bancaires traditionnels. A taux actuels et sans rien faire, il vous faudra plus d’un siècle pour doubler votre épargne.

Naturellement, il est des placements moins fastidieux. Avec l’assurance-vie, par exemple, 58 ans suffisent, en conditions actuelles, pour doubler le montant de votre épargne sans y toucher.

Doubler son épargne : les anciens PEL, un vrai jackpot ?

D’une façon générale, le placement les plus efficace pour doubler rapidement est devenu rare : il s’agit des PEL anciens, qui permettaient alors cet exploit en 40 ans seulement, environ. Le nouveau modèle est moins rapide. Il faudra attendre au moins 100 ans..

Si vous souhaitez calculer le temps qu’il vous faudra pour multiplier votre épargne par deux, la meilleure solution est de faire appel à la "règle d'Einstein". Concrètement, il s’agit d’une équation simple : prenez le montant de votre rémunération, 2% par exemple. Servez-vous en pour diviser le chiffre 70 (ici, 70/2 =35) et vous obtiendrez une estimation assez proche du réel, rappellent nos confrères. A taux constant, donc.