Elizabeth II très économe : toutes ses astuces étonnantes pour réduire les factures royales ©PA Photos/ABACA
La famille royale britannique représente l'une des plus grandes fortunes du monde. Malgré plusieurs millions de livres à son actif, Elizabeth II faisait très attention à ses dépenses, quitte à faire des concessions sur son confort personnel. Explications.

Elizabeth II : ces millions alloués par l'État britannique

Des millions de livres pour l'ancienne souveraine Elizabeth II. De son vivant, la mère de celui que l'on surnommait encore il y a peu le prince Charles, bénéficiait d'une coquette somme allouée par l'État britannique. Comme l'a révélé le biographe Bertrand Meyer-Stabley dans son ouvrage Majesté, Le règne Elizabeth II, cette dernière recevait le "Sovereign Grant", une dotation de pas moins de 97 millions de livres.

Des millions afin de couvrir les "dépenses courantes, ses frais de représentation et le coût du personnel de Buckingham Palace, de Windsor et du palais écossais d'Holyrood House", écrit-il. Rien que ses coûts de déplacement avoisinaient les 5,3 millions de livres en 2021. Une somme folle, mais moindre, lorsque l'on sait que les coûts salariaux grimpaient eux à 24,4 millions de livres. Qu'en est-il du montant des dépenses liées aux divers châteaux ? Là encore, les sommes se content en millions. Comme l'a affirmé Bertrand Meyer-Stabley, une "enveloppe de 38,3 millions de livres représente l'entretien" des diverses demeures.

Ses astuces pour faire des économies

Dans son ouvrage, l'écrivain avait révélé quelques indiscrétions concernant les astuces de la reine afin de faire des économies. Des astuces révélées par le valet Stephen Barry. "L'économie de bouts de chandelles favorites de la reine c'est la chasse au gaspillage de l'électricité" si bien qu'au château de Windsor, les interrupteurs portaient la mention "Éteignez la lumière en quittant la pièce SVP". De même que dans plusieurs pièces, le chauffage était éteint. "A Balmoral et Sandringham, la règle est : "Si vous avez froid, mettez un chandail", avait écrit Bertrand Meyer-Stabley.