Brigitte Bardot : son violent tacle à Marie-Sophie Lacarrau qui l'a "fait frémir d'horreur"

C'est une attaque en règle que vient de subir Marie-Sophie Lacarrau. Brigitte Bardot s'en est violemment pris à elle dans un tweet publié ce mardi 30 mars. "Honte au journal de 13h de TF1", écrit-elle sur le réseau social, en référence à un sujet diffusé sur l'abattage des agneaux. "C'était le mardi 5 janvier au journal de 13h de TF1. La nouvelle journaliste qui remplace notre Jean-Pierre Pernaut m'a fait frémir d'horreur avec un reportage intolérable : la mort d’agneaux", a-t-elle fustigé, dans un long texte intitulé "L'agneau pascal = L'Aïd-el-kebir catholique" en dessous de sa publication.

"À croire qu'elle y touche un pourcentage"

"Cela m'a tellement choquée que 3 mois après j'en parle encore", écrit Brigitte Bardot. Dans sa diatribe, la militante pour la cause animale s'en prend violemment à la présentatrice du journal, Marie-Sophie Lacarrau. "Cette journaliste, nous montre quotidiennement des reportages sur les boucheries à croire qu'elle y touche un pourcentage", assène la créatrice de la Fondation Brigitte Bardot. Avec Pâques qui arrive, elle s'en prend également à la "tradition catholique douloureuse, inhumaine et scandaleuse" de l'agneau pascal. "Tout ça pour en arriver à Pâques, cette fête magnifique qui, hélas, entraîne avec elle le sacrifice de milliers de petits bébés agneaux qui doivent être servis le jour de Pâques en l'honneur de 'l'agneau pascal'", écrit la mythique ancienne actrice.

Ce n'est pas la première fois que Brigitte Bardot s'en prend au journal de 13 heures de TF1. Le 23 avril 2019, elle s'était déjà dite "choquée et stupéfaite d'entendre le journaliste faire la promotion des cuisses de grenouilles avec images à l'appui qui (l)'ont écoeurée" dans une lettre ouverte au rédacteur en chef du 13h de TF1. "Jean-Pierre Pernaut [qui était en vacances cette semaine-là, ndlr] n'aurait certainement pas accepté cette complicité abjecte. Que les restaurateurs qui ont la cruauté de mettre des cuisses de grenouilles à leurs menus prennent conscience de l'atroce souffrance qu'ils provoquent", avait déjà asséné Birgitte Bardot.