8 choses que vous ne saviez pas encore sur Jean-Luc Reichmann abacapress
Souvent cité comme étant un des animateurs préférés des Français, Jean-Luc Reichmann incarne le rendez-vous du midi sur TF1. Mais connaissez-vous vraiment tout du présentateur ? On vous révèle certains aspects de sa personnalité moins connus...
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Jean-Luc Reichmann est très proche de sa sœur sourde

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Grand frère attentionné, il se montre très proche de sa cadette de 10 ans de moins que lui. Une petite sœur sourde : "Son handicap m’a aidé à relativiser. Même si on est soi-même dans le désarroi le plus profond, d’autres le sont plus encore. Ma sœur et moi avions toujours été proches. Paradoxalement, tout en étant sourde, elle a toujours été à mon écoute" confiait-il au magazine Télé Loisirs. Sensibilisé dès son plus jeune âge dans la cause des personnes souffrant d’un handicap, il a décidé de mettre sa notoriété au service de cette cause et au-delà, venir en aide aux personnes malades ou dans le besoin : "Il est d’ailleurs inscrit dans tous mes contrats que mes émissions doivent être sous-titrées. Je fais aussi beaucoup de choses pour d’autres associations comme Ela, la lutte contre le cancer ou la fondation TF1, mais mes combats ne sont pas forcément médiatisés" rapportait-il au journal Metro.

C'est un grand fan d'arts martiaux

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Jean-Luc Reichmann a fait du karaté shotokan-ryu à un haut niveau. Une activité qu'il a pratiquée depuis ses 14 ans à Toulouse mais qu’il a été contraint d’arrêter après une blessure au bout de 10 ans. Grâce à la pratique de ce sport, il a appris une véritable discipline de vie qui lui a appris à mieux se connaître comme il le confiait dans une interview à Karaté magazine : "En karaté, tu apprends à ne pas reculer devant le danger. Tu apprends à chercher la faille de l’autre aussi, à interpréter son langage du corps, donc être à son écoute. Surtout, tu es confronté à toi-même : si tu veux progresser, si tu veux gagner, tu dois prendre des risques. C’est un miroir pour soi-même. C’est assez spécifique aux arts martiaux, avec tous les codes qui s’y rattachent, je pense". 

Il a commencé à la radio et a même fait du doublage

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Jean-Luc Reichmann a exercé un peu près tous les métiers en rapport avec le monde du petit écran. A ses débuts, il a commencé par être chauffeur de salle pour les émissions N’oubliez pas votre brosse à dents ou encore Que le meilleur gagne avec Nagui. De chauffeur de salle, il est passé à voix off sur N’oubliez pas les paroles et Que le meilleur gagne de Nagui mais aussi dans Motus,Tribunal et pendant 13 ans pour les Guignols de l’info. Avec cette voix singulière, il a d’abord exercé son talent dans des radios locales à Toulouse puis sur NRJ, RFM, Europe 1… avant de se tourner vers la télévision en 1995. Pour les amateurs de jeux vidéo, Jean-Luc Reichmann a prêté sa voix pour les jeux FIFA et au cinéma pour les films Porco Rosso de Hayao Miyazaki et Nocturna, la nuit magique. 

Passionné de comédie

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S’il incarne aujourd’hui le brigadier Léo Mattéï : Brigade des mineurs sur TF1, Jean-Luc Reichmann s’est essayé très tôt à la comédie. Une envie qui s’est manifestée très tôt chez lui, fraîchement arrivé de sa ville natale, Toulouse, Jean-Luc Reichmann s’est inscrit au cours Florent. En parallèle de sa carrière à la télévision, il a tenu plusieurs rôles dans des séries sur TF1 comme Navarro, Nestor Burma, Joséphine, ange gardien ou encore Victor Sauvage qu’il produit avec sa propre société Formidooble

Il a failli perdre la vie dans un accident de moto

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Jean-Luc Reichmann n'a que 24 ans lorsqu'il est victime d'un accident de moto très grave qui lui a laissé une cicatrice profonde sur le bras. Dans son émission, les 12 coups de midi, l'animateur a dévoilé cette cicatrice pour sensibiliser le public sur les dangers de la route notamment pour les cyclomotoristes : "Voilà, c'est mon bras, je l'ai jamais montré de ma vie, mais je le fais pour montrer la sécurité aux enfants". Cet accident a failli lui coûter la vie. Alors qu'il roulait en moto, il a été percuté de plein fouet et a passé plusiuers mois dans le coma. S'en est suivie une convalescence immobile pendant près d'un an avec encore aujourd'hui des séquelles de ses 18 fractures. 

Il s'est essayé à la chanson

Peu de gens s’en souviennent, mais l’animateur star de TF1 a poussé la chansonnette en 1995 sur le tube Raggababa. Un titre conceptuel qui connaîtra un succès mitigé malgré l’originalité du morceau et de la pochette où l'on peut voir un Jean-Luc Reichmann grimé en baba cool et avec des divinités indiennes, sans oublier cette phrase énigmatique "Tafétoussa-Tôa ?". Une chanson qui vaut le détour et que nous vous proposons d'écouter. 

Il a la main verte

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Une nouvelle fois, Jean-Luc Reichmann a hérité d’une passion familiale : le jardinage. "Il faut cultiver son jardin. En effet, je suis petit-fils d’agriculteurs et de vignerons, du côté maternel. Ils vivaient en Bourgogne. Ma mère a obtenu le grand prix de la Haute-Garonne des jardins fleuris […] Certains ont besoin d’affronter vents et océans. Moi, je m’évade dans ma maison en franchissant la porte du jardin. Comme le chante Cabrel : il n’a pas trouvé mieux que son lopin de terre" confessait-il dans une interview pour le Parisien. Ainsi, il aime se ressourcer dans son jardin et cultive ses propres légumes même s’il possède qu’un petit jardin dans sa maison situé dans l’Ouest parisien. Il voue un véritable amour pour les choses simples et authentiques et une passion pour le terroir. C’est pourquoi, il aime partager ses astuces pour bien entretenir son jardin avec le plus grand nombre. 

Il est passionné par les volatiles

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Ce sont ses grands-parents paternels qui ont transmis à Jean-Luc Reichmann la passion pour les volatiles. Dans la maison de ses grands-parents en Haute-Savoie, le jeune Jean-Luc côtoyait pas moins de 100 oiseaux. Chez lui, Jean-Luc Reichmann possède plusieurs espèces d'oiseaux : une cage avec des oiseaux d'Asie, une autre avec ceux originaires d'Afrique et un rossignol du Japon nommé Raoul, offert par son épouse, Nathalie. Dans un entretien pour Le Parisien, il revenait sur cette passion : "Comme il faut être en observation pour rester vif, au lieu de regarder la télé, je regarde mes oiseaux". Ces chers volatiles cohabitent avec lui dans sa cuisine et animent joyeusement les lieux.