Charlotte de Turckheim a échangé son premier baiser avec ... Jean-Christophe Cambadélis©AFP
L'actrice Charlotte de Turckheim a révélé au micro de Marion Ruggieri sur Europe 1 que son premier amour est nul autre que l'actuel  premier secrétaire du parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis.

Cette histoire aurait pu s’intituler "La baronne et le révolutionnaire". C’est amusée, que Charlotte de Turckheim a révélé mercredi 17 septembre, lors de l’émission Il n’y en a pas deux comme elle sur Europe 1, que son premier baiser a été échangé il y a 40 ans avec Jean-Christophe Cambadélis, l’actuel premier secrétaire du Parti Socialiste.

Les deux familles se connaissaient explique-t-elle. Le jeune Jean-Christophe Cambadélis, alors âgé de 19 ans était venu passer quelques jours dans la maison provençale des de Turckheim avant de, semble-t-il, rejoindre le festival d’Avignon. "Il est venu camper chez moi dans le jardin avec un copain", raconte l’actrice un sourire aux lèvres, "j’ai vu sortir de la tente du fond du jardin une espèce de bombasse ! Il était d’une beauté, vous ne pouvez pas imaginer."

Le jeune homme, alors militant dans les associations étudiantes d’extrême gauche, éblouit la jeune fille de quatre ans sa cadette. "Un trotskyste dans le 16e, je n’en avais jamais vu ! On n’avait jamais vu ça avenue Victor Hugo !", confie-t-elle. S’en suit une idylle à l’abri des regards, le premier amour de l’actrice.

Une douce vengeance

Quelque temps plus tard c’est la rupture. La baronne dit avoir été "larguée comme une vielle chaussette" dans le RER. À la question de savoir si elle s’est vengée, Charlotte de Turckheim a répondu que la vie s’en est chargée pour elle. "Je trouve qu’il est devenu horrible (…) Il est devenu un politicien alors qu’il était passionné, il voulait sauver la France et sauver le monde, maintenant il veut juste sauver sa carrière…" a-t-elle répliqué.

L’actrice s'était déjà exprimée sur ce sujet en 2008 sur le plateau de l’émission Panique dans l’oreillette sur France 2. Elle s’était montrée beaucoup plus clémente vis-à-vis de l’homme politique.