
Véritable féru de journalisme politique, il en a fait son métier pour de nombreux médias. Jean Pierre Elkabbach est décédé ce mardi à l’âge de 86 ans. Retour sur ses interviews politiques qui ont marqué...
Peu après le massacre de San Bernardino (Californie), Donal Trump a formulé une nouvelle sortie polémique en déclarant vouloir interdire l’entrée du pays aux musulmans. "Nous devons déterminer d'où vient cette haine et pourquoi elle existe, a-t-il déclaré dans un communiqué. Jusqu'à ce que nous soyons en mesure de comprendre ce problème et la dangereuse menace qu'il représente, notre pays ne peut être victime d'horribles attaques par des gens qui ne croient qu'au djihad, et n'ont aucun sentiment de raison ou de respect pour la vie humaine."
Le retour des "no go zones". Suite à ses propos sur les musulmans, Donal Trump a déclaré que certains quartiers parisiens et londoniens étaient devenus trop dangereux pour les policiers. "Paris n’est plus la ville sécurisée qu’elle était. Il y a des quartiers qui sont radicalisés, où la police refuse d’aller. Ils sont terrifiés. (…) Il y a des lieux à Londres et ailleurs qui sont si radicalisés que les policiers y craignent pour leurs vies", a-t-il affirmé lors d’une interview sur MSNBC.
Donald Trump en est sûr : des milliers d’habitants de Jersey City (New Jersey) ont célébré les attentats du World Trade Center en septembre 2011. Même si de très nombreux journalistes américains ont démontré qu’il mentait, le milliardaire n’est visiblement pas décidé à revenir sur ses propos. Il s’en est d’ailleurs récemment pris au journaliste Serge Kovaleski. Ce dernier l’accusant de mentir, le milliardaire a réagi en le singant devant une foule lors d'un meeting. Problème, le journaliste souffre d’arthrogrypose, une maladie congénitale réduisant fortement la mobilité des articulations.
Le magnat de l’immobilier s'est vanté, en mars 2011, d'avoir réussi à arnaquer l'ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi. "Je lui ai loué une partie d’un terrain. Il m’a payé plus pour une nuit que ce que valait le terrain pour deux ans, s’est-il félicité. Et puis je ne l’ai pas laissé utiliser ce terrain. C’est ça qu’on devrait faire ! Je ne veux pas utiliser le mot 'niquer', mais je l’ai niqué."
Donald Trump ne rate jamais une occasion pour s’en prendre à Barack Obama. Le plus sérieusement du monde, il déclarait en août 2012 que l’acte de naissance du président américain était un faux. Pourtant, quelques jours avant, le principal concerné avait publié son document officiel afin de faire taire les rumeurs.
En bon fan de Twilight, le candidat à la primaire républicaine n’a pas hésité à donner son avis sur le couple que formaient Robert Pattinson et Kristen Stewart en 2012. La délicatesse n'est visiblement pas son fort.
En 2012, Donald Trump s’en est pris à la fondatrice du Huffington Post. Dans un message publié sur Twitter, il déclarait alors : "Arianna Huffington est laide, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Je comprends tout à fait que son ex-mari l’ait quittée pour un homme. Il a pris la bonne décision".
Totalement contre l’immigration mexicaine, Donald Trump n’y va pas de main morte pour qualifier cette tranche de la population. D’après lui, le Mexique enverrait "des personnes qui ont beaucoup de problèmes, et qui rapportent ces problèmes" aux Etats-Unis. "Ils apportent des drogues. Ils apportent le crime. Ce sont des violeurs", a-t-il ensuite ajouté. Rien que ça !
Donald Trump n'est pas particulièrement fan de ses voisins mexicains et il le fait savoir. Sa solution pour lutter contre le trafic de drogue en provenance du Mexique : construire "un grand mur à la frontière" et le faire "financer" par... le Mexique !
C’est bien connu : le réchauffement climatique est une invention destinée à déstabiliser les Etats-Unis. C’est en tout cas ce que semble penser Donald Trump. La faute à qui ? Aux Chinois bien entendu !
Le milliardaire ne semble pas apprécier la Chine outre-mesure. Il l’a encore prouvé en se vantant d’être meilleur dans les affaires que les Chinois.
Voici la dernière pique envoyée par Donald Trump à sa concurrente démocrate, Hillary Clinton. Une référence misogyne à la relation entretenue par Bill Clinton et sa secrétaire Monica Lewinsky lorsque ce dernier était encore président des Etats-Unis.
No comment !
Pour Donald Trump, le sénateur américain John McCain ne peut être un héros de guerre pour la simple et bonne raison qu’il s’est fait capturer lors de la guerre du Vietnam.
Afin de se dédouanner de toute forme de racisme, de nombreux politiques ont, par le passé, évoqué un ou une amie d'origine étrangère. Donald Trump n'échappe pas à la règle même s'il s'en sert pour mieux les enfoncer.
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