
Dans un contexte de guerre proche des frontières de l'Europe, les pays européens ont quasiment doublé leurs importations d'armes entre les périodes 2015-2019 et 2020-2024. Voici les 10 pays qui exportent le plus...
© abacapressAlors que les ménages français vont prochainement s’acquitter du solde de leur impôt sur le revenu sur l’année 2012, certains d’entre eux risquent fort de payer davantage l’année prochaine. En effet, plusieurs mesures contenues dans la loi de Finances 2013 entreront en application en 2014. Et comme l’expliquent les Echos, c’est notamment le cas "de la réforme phare de François Hollande visant à aligner la fiscalité du capital sur celle du travail". Concrètement, les intérêts et dividendes ne seront donc plus imposés de manière forfaitaire mais seront taxés en fonction du barème de l’impôt sur le revenu et ce, "à compter des impôts payés en 2014" précise le quotidien économique. Et alors que le gouvernement souhaitait initialement appliquer cette mesure dès cette année, le Conseil constitutionnel s’y est opposé faisant valoir sa rétroactivité.
Seuls les contribuables les plus aisés seraient visés par le gel du barèmeLors de son discours du 14 juillet, François Hollande avait par ailleurs évoqué une possible hausse des impôts l’an prochain. "Vous croyez que c’est agréable, quand on arrive au pouvoir d’augmenter les impôts ?" avait-il en effet commencé par demander avant de prévenir : "Je ne ferai d’augmentation d’impôts que si elles sont indispensables" et "dans l’idéal, le moins possible". Le Parisien avait ensuite, quelques jours plus tard, indiqué que le ministère du Budget envisageait de maintenir le gel du barème de l’impôt sur le revenu pour certains contribuables. Une mesure consistant à ne pas revaloriser le taux d’imposition au même rythme que l’inflation pour les contribuables les plus aisés. En d’autres termes, celle-ci reviendrait à augmenter l’impôt pour les personnes disposant des revenus les plus élevés, soit quelque 3 millions de foyers fiscaux.