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Il ne reste que quelques semaines avant les élections présidentielles. Les régionales de juin 2021 avaient atteint un taux d’abstention record de 66%. Les élections qui arrivent seront cruciales et il est difficile de savoir quelle importance aura cette fois le taux d’abstention.
Alors que les écarts se resserrent, il est de plus en plus difficile de savoir qui sera au 2nd tour. Suite au fiasco du meeting de Valérie Pécresse, la candidate des Républicains chute dans les intentions de vote. Selon un sondage du 24 février réalisé par Public/Epoka et décrypté par nos confrères du Figaro, elle s’est retrouvée ce jeudi 24 février ex-aequo avec l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon.
L’actuel président, qui n’a toujours pas officialisé sa candidature, est toujours en tête et consolide même son avance puisqu’il est crédité de 25% des voix. Marine Le Pen et Éric Zemmour se retrouvent quant à eux à égalité en deuxième position avec 16,5% des intentions de vote toujours selon le même sondage.
À gauche, la dynamique reste globalement la même et seul Jean-Luc Melenchon parvient à sortir du lot. L’écologiste Yannick Jadot continue de chuter et s’aligne sur le candidat communiste Fabien Roussel à 4% d’intentions de vote. De son côté, Anne Hidalgo reste en dernière position avec 2%, juste derrière Nicolas Dupont-Aignan et Christiane Taubira à 2,5%.
La candidate qui avait remporté la primaire populaire le 30 janvier dernier avait la volonté de réunir la gauche. Mais le refus des autres candidats de se plier aux résultats de l’initiative citoyenne additionné au retrait du Parti radical de gauche de sa candidature le 14 février, semblent avoir eu raison de sa campagne. Stagnant autour des 3% dans les sondages depuis plusieurs semaines, Chrisitiane Taubira ne baisse cependant pas les bras et continue de mener sa campagne.
Un autre obstacle pourrait se mettre sur sa route. Au 24 février, elle n’a pu obtenir pour l’instant que 128 signatures d’élus sur les 500 requises avant le 4 mars prochain pour confirmer sa candidature. Le chemin vers le poste de Présidente de la République semble ainsi semé d’embuches pour l’ancienne garde des Sceaux.
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