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Selon le magazine Closer, ainsi que des documents consultés par Le Point, le fils de Valérie Trierweiler aurait été interpellé à plusieurs reprises après s'être procuré du cannabis. Aucune poursuite n'aurait cependant jusqu'ici été engagée à son encontre.

Le fils de Valérie Trierweiler a-t-il bénéficié d’un traitement de faveur de la part des policiers ? D’après le dernier numéro du magazine Closer, paru ce samedi, l’un des trois enfants de la compagne de François Hollande aurait été interpellé par la police à plusieurs reprises en possession de drogue. Mais il aurait été aussitôt relâché et aucune poursuite n’aurait été engagée contre lui.Pris en flagrant délitSelon Closer, le fils de Valérie Trierweiler a été interpellé le 23 octobre dernier à Saint-Ouen par la brigade anti-criminalité, alors qu’il venait d’acheter du cannabis. Le Point, qui a pu consulter le compte-rendu rédigé par les policiers, note qu’il aurait alors bénéficié de la clémence des forces de l’ordre, puisque les interpellations en ZSP, en zones de sécurité prioritaires, sont soumises à une procédure particulière : elles doivent faire l’objet d’un avis au parquet, et une amende doit être dressée sur place à l’encontre du malfrat. Rien de tout cela n’aurait ici été appliqué et le fils de Valérie Trierweiler aurait été récupéré par son garde du corps peu de temps après.« Des policiers en porte à faux »« Nous avons pris contact avec l'officier de sécurité » note dans son rapport le policier. « Afin de lui faciliter la prise en charge, nous l'avons pris à notre bord pour le confier à X avec lequel nous avions rendez-vous à la porte de la Chapelle à 17h40. Nous lui avons rappelé que, pour cette action, nous nous trouvons en porte à faux... de ne pas avoir fait notre travail d'anti-criminalité... ni de devoir rendre compte des faits au vu du caractère récent et sensible de la création de la zone de sécurité prioritaire ». Récidiviste ?Un incident qui n’était visiblement pas une première. Selon les extraits de La Frondeuse, la biographie écrite par Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn, publiés par L’Express en 2012, le fils de la compagne de François Hollande avait déjà été arrêté dans la rue, en mars 2012, alors qu’il était en possession d’un pétard. A l’époque, pas un mot de filtré.

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