Que vous soyez un passionné de numismatique ou un collectionneur aguerri, il est essentiel de savoir identifier les pièces de valeur. Voici quelques critères pour reconnaître une pièce de monnaie rare.
Jonathan Amerault, 25 ans, était porté disparu depuis le lundi 21 septembre 2020. D'après le site américain Crime Online, spécialisé en faits divers, son corps décapité a été retrouvé à Pittsburg, dans le nord du New Hampshire aux États-Unis. C'est la mère de la victime qui a signalé la disparition de son fils. En effet, il ne s'est pas rendu au travail ce jour-là, chez Teleflex Medical OEM. Les enquêteurs se sont rendus sur place pour interroger les collègues de Jonathan. Ils ont alors fait une découverte qui leur a mis la puce à l'oreille...
Après avoir questionné les connaissances de la victime, les forces de l'ordre ont découvert que celle-ci entretenait une liaison avec Britany Barron, une autre employée de la société. Une révélation qui prend toute son importance quand les agents apprennent que cette femme avait appelé l'entreprise pour prévenir qu'elle ne viendrait pas au travail et qu'elle allait probablement démissionner... Britany a-t-elle un lien avec la disparition de son amant ?
Infidélité : le mari ordonne à sa femme d'abattre son amant
Quand elle commence à fréquenter Jonathan, la femme de 31 ans partage déjà sa vie avec un autre homme, Armando Barron. Ce dernier a appris l'infidélité de son épouse samedi 19 septembre, en fouillant dans son téléphone portable. Il a donc utilisé le numéro de sa compagne pour tendre un piège à son amant en lui donnant rendez-vous à Annett Wayside Park, dans le New Hampshire.
Là, Armando bat sa femme et lui ordonne de tirer sur Jonathan, mais celle-ci en est incapable. D'après les déclarations de Britany, son mari a alors exigé des deux amants de monter dans le véhicule. Sur les ordres de son mari, la trentenaire a tranché les poignets de Jonathan. Armando a ensuite tiré trois fois sur la victime : deux coups dans la poitrine et un dans la tête. Le crime ne s'arrête pas là...
Infidélité : sur les ordres de son époux, elle scie la tête de son amant
Britany Barron, toujours sous les ordres du meurtrier, a conduit la voiture de son amant dont le corps gisait à l'intérieur. Armando la suivait avec son propre véhicule, et s'est arrêté dans un magasin pour acheter des bâches, des produits ménagers et une pelle. Une fois arrivées dans une zone de camping, les deux voitures s'arrêtent. L'assassin a alors exigé de sa femme qu'elle décapite Jonathan avant de l'envelopper dans une bâche et de creuser une tombe.
Une fois cela fait, Britany a emmené son mari plus loin pour qu'il détruise le téléphone de Jonathan sur un rocher. Le couple a dispersé les diverses parties du téléphone dans la nature pour effacer les preuves. Par la suite, Armando exige également que sa femme prévienne ses amis qu'elle partait "se vider la tête" et ses collègues qu'elle ne viendrait pas au travail lundi, comme écrit précédemment. Enfin, le meurtrier rentra chez lui, laissant un cadavre et deux armes sur les bras de son épouse infidèle. Que lui est-il arrivé ?
Infidélité : Britany accusée de falsification de preuves
Les enquêteurs ont très vite interrogé Armando, qui a déclaré que son mariage battait de l'aile et qu'il n'avait pas vu sa femme depuis samedi, jour où il l'a déposé en voiture pour "camper avec des amis". D'après la version des faits de Britany, son mari l'a laissé sur un site de camping avec le corps de Jonathan, et lui a ordonné d'enterrer le corps le temps qu'il rentre.
Les forces de l'ordre ont retrouvé le corps et la voiture de Jonathan et ont placé Britany en garde à vue. Interrogée, la trentenaire a dit aux agents de police que son mari allait revenir sur les lieux du crime avec du béton, de la terre et leur fille âgée de neuf ans. Les enquêteurs l'ont trouvé et l'ont arrêté. Lors de leur mise en accusation le 25 septembre 2020, Armando et Britany ont tous les deux plaidé non-coupables.
L'amante est accusée de falsification de preuves et le mari est inculpé pour meurtre. Ils ont été placés en détention sans caution.