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Valérie Trierweiler a promis vendredi dernier de "ne plus se taire". Mais alors que ces propos ont provoqué une vague de réactions et de commentaires, la compagne du président François Hollande a tenu à apporter quelques précisions. Découvrez lesquelles.

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Des précisions. Vendredi Valérie Trierweiler s’est engagée à « ne plus se taire ». En marge d’une de la remise du prix Danielle Mitterrand à Paris, la compagne du chef de l’Etat a en effet déclaré : "Je ne me tairai plus". Une petite phrase qui, compte tenu des précédentes prises de positions de la Première dame, n’a pas manqué de susciter de nombreuses réactions. Certains observateurs allant même jusqu’à craindre une nouvelle affaire de tweets dans les mois à venir. Au lendemain de cette annonce, Valérie Trierweiler a mis fin aux spéculations en apportant quelques précisions. "Mon discours n’avait trait qu’à l’humanitaire", a-t-elle ainsi affirmé. Et alors qu’elle s’est engagée dans la défense des femmes violées à travers le monde et des réfugiés syriens, celle qui partage la vie de François Hollande a assuré : "C’est mon seul combat". Oublié donc le spectre d’un nouveau ‘Tweetgate’, Valérie Trierweiler a, semble-t-il, bel et bien décidé de ne plus prendre publiquement part aux affaires politiques du pays.Danille Mitterrand, le "modèle" de Valérie TrierweilerVendredi, lors de la remise du prix Danielle Mitterrand, Valérie Trierweiler a salué l’action de l’ancienne Première dame. Elle "ne prenait pas la pose, elle prenait des positions. Des positions courageuses", a-t-elle expliqué avant d’ajouter : "Elle était une Première dame qui refusait la soumission, elle n’était guidée que par le désir de justice et de liberté. Y compris quand elle devait afficher un désaccord avec le président Mitterrand. Elle n’avait pas peur de porter haut les valeurs de gauche. Elle ne se laissait pas bâillonner. Elle n’avait pas peur du mot ‘politique’". Forte de ce discours, Valérie Trierweiler a non seulement clos son intervention en promettant de "ne plus se taire" mais également en annonçant qu’elle allait réunir toutes les Premières dames des chefs d’Etat qui seront présents au sommet franco-africain le 6 décembre prochain.