
Le mercredi 12 février, Owen L., 23 ans, a été mis en examen pour “meurtre sur mineure de 15 ans”, dans le cadre de l’affaire Louise. Placé en détention provisoire à la prison de la Santé, dans le 14e...
"Avec la crise économique, nous craignons malheureusement une explosion de ces coupures dans les semaines à venir." Cette inquiétude de Frédérique Feriaud, directrice générale des services du médiateur de l’énergie (MNE), naît de la fin de trêve hivernale. Après une prolongation de deux mois en raison de la crise sanitaire, elle s’est en effet terminée le 1er juin dernier.
Des centaines de milliers d’abonnés redoutent ainsi des coupures d’électricité ou autres diminutions de puissance. Car, s’ils sont redevables de factures de gaz ou d’électricité, les fournisseurs d’énergie ont de nouveau la possibilité d’instaurer des restrictions. "Certains fournisseurs ont la main lourde, même pour des petits montants", prévient la DG de MNE dans les colonnes du Parisien.
Et d’ajouter : "Les fournisseurs nous alertent du nombre d’impayés auxquels ils font déjà face, reprend Frédérique Feriaud. Et ce alors que la trêve vient à peine de se terminer. C’est une situation inquiétante." D’autant que cela concerne aussi des personnes, qui, impactées par la crise, se retrouvent pour la première fois en difficulté financière.
Mieux vaut alors ne pas attendre pour réagir. Vous avez reçu des relances ? Contactez sans tarder votre fournisseur pour faire le point sur votre situation et demandez par exemple un échéancier. Car, comme l'assure Frédérique Feriaud "une fois le gaz ou l’électricité coupés, toutes les démarches deviennent plus difficiles. Et surtout plus coûteuses. Ce n’est pas facile, on a parfois un peu honte, mais il ne faut pas".