abacapress
Alors que l'état d'alerte est maximal à Bruxelles, les autorités belges ont demandé aux médias de ne pas couvrir les interventions des forces de l'ordre. 

Depuis trois jours, Bruxelles est en quasi état de siège après que le Premier ministre a mis la capitale belge en état d’alerte maximale, par crainte d’attentats imminents.

Toujours à la recherche de nombreux djihadistes capables de passer à l’acte, les forces de l’ordre belges ont multiplié cette nuit les perquisitions ayant permis l’interpellation de seize personnes. Mais toujours par de Salah Abdeslam, terroriste présumé des attentats de Paris qui a fui le jour des attaques vers la Belgique.

Pour ne pas compromettre les interventions policières, en n’indiquant pas aux terroristes où se trouvent les forces de l’ordre en direct, les médias ont été priés de ne pas couvrir les opérations de la police. Une censure préventive qui a amené de nombreux médias et utilisateurs de réseaux sociaux à couvrir tout de même l’information, mais de manière humoristique… en utilisant les fameux chatons, stars d’Internet, avec le mot-dièse #BrusselsLockdown.