
INTERVIEW. Quand on a plus de 60 ans et qu'on souffre de solitude, mais qu'on n'a ni l'envie ni les besoins de vivre en Ehpad, peu de solutions existent. Après les colocations pour seniors, les béguinages...
Pour bien choisir son alarme sans fil, il faut tout d'abord s'intéresser à la centrale. C'est ce boîtier qui va gérer l'ensemble des détecteurs et des systèmes d'alerte. Il faut s'assurer que cet élément peut supporter suffisamment de détecteurs pour quadriller l'ensemble du domicile. Il faudra aussi vérifier que la centrale dispose de systèmes de résistance aux fraudes, telles que l'ouverture du boîtier ou les coupures d'électricité par exemple.
Pour limiter les risques de cambriolage, l'alarme doit être également équipée de détecteurs adaptés. Les détecteurs volumétriques vont s'intéresser aux mouvements, tandis que les détecteurs périmétriques vont détecter une éventuelle effraction au niveau d'une ouverture (fenêtre, porte, etc.). Pour faire son choix, il convient d'opter pour des détecteurs adaptés à la configuration de la maison (surface, angles, etc.).
Le transmetteur est aussi important. En cas d'effraction, il va contacter le propriétaire, les autorités ou un service de télésurveillance via appel ou message. Cet élément utilise généralement le réseau internet (IP). En cas de coupure de la connexion internet, il ne va cependant pas pouvoir envoyer d'alerte. Il est donc préférable d’opter pour un transmetteur fonctionnant via le réseau de téléphonie mobile (GSM). Moyennant un abonnement à un forfait mobile, le transmetteur pourra quoi qu'il arrive envoyer une alerte en cas d'intrusion.