La veuve de Bernard Laroche, tué en 1985 par le père du petit Grégory, a pris la parole 40 ans après sur cette tragédie qui n’a jamais été élucidée.
C'est une situation assez insolite pour les juges du tribunal correctionnel de Paris. En effet, ils doivent eux-mêmes juger un juge ! La raison ? Celui-ci n'a pu s'empêcher de dérober une pendule appartenant au tribunal et placée dans le bureau du président de session lors du procès du terroriste Carlos.
En matière de terrorisme, les accusés ne sont jugés que par des assesseurs professionnels. C'est justement l'un d'eux qui s'est emparé de la pendule de style Empire de 30 sur 50 cm. Lorsque le préposé aux pendules s'est aperçu de la disparition, il a immédiatement prévenu le commandement militaire, qui regrettait vivement qu'une telle faille de sécurité puisse exister pour un procès aussi sensible.
Jusqu'à 3 ans de prison et 45 000 euros d'amendeMais ils étaient sûr que le coupable serait identifié grâve aux bandes de vidéosurveillance. L'auteur des faits était alors présent et a préféré rendre la pendule très rapidement. Il a par ailleurs démissionné peu après, il ne risque donc pas de sanctions disciplinaires. Cependant, il est bel et bien poursuivi pour vol simple, sans effraction ni violence, et risque jusqu'à 3 ans de prison et 45 000 euros d'amende.