Quand Véronique Sanson voulait engager un tueur à gages pour éliminer son mariabacapress
Invitée d'On n'est pas couché en 2015, Véronique Sanson était revenue sur sa vie avec son ex-mari, Stephen Stills, et sur son divorce. Un épisode digne d'un polar puisque la chanteuse était prête à le faire supprimer par un tueur à gages !

Comme le dit la chanson, les histoires d'amour finissent mal, en général. Celle de Véronique Sanson et Stephen Stills a bien failli finir très mal. Invitée de Laurent Ruquier en janvier 2015 dans On n'est pas couché, la chanteuse est revenue sur son mariage avec le musicien Stephen Stills. Un véritable coup de foudre pour lequel elle avait tout quitté pour aller vivre avec lui aux États-Unis dans les années 70. Mais la romance n'a pas duré éternellement.

Si Véronique Sanson est devenue maman d'un petit Christopher, quelques années plus tard, les problèmes d'alcool de son mari ont eu raison de leur mariage.

"C'est un polar ce divorce !"

Comme le décrit Les années américaines, un livre écrit par Laurent Calut et Yann Morvan et qui raconte la vie de Véronique Sanson aux États-Unis, Stephen Stills a rapidement fait vivre un enfer à sa famille. À tel point que Véronique Sanson en arrive à envisager une solution radicale pour mettre fin au problème. "C'est un polar ce divorce !" a-t-elle confirmé. À quoi répond un Laurent Ruquier visiblement très amusé : "il vous arrive même l'idée d'engager un tueur à gages pour éliminer votre mari !"

"Ça ne coûtait pas cher… Huit mille dollars !"

"Oh bah oui ! Ça ne coûte rien de deman­der !" rétorque Véronique Sanson. "Ça ne coûtait pas cher… Huit mille dollars ! Je ne l’ai pas fait, mais j’y ai vrai­ment pensé" explique-t-elle. "J’ai pensé à le pous­ser d’une falaise. À le pous­ser d’un bateau. Mais je ne suis pas allée jusqu’au bout, j’avais trop peur de me faire prendre. Je ne me disais pas du tout : "C’est mal ce que je fais, c’est mal de tuer". Je me disais juste : "Je n’ai pas envie de me faire prendre. Je suis telle­ment con et telle­ment désor­don­née, je suis capable de lais­ser traî­ner un truc, on saura que c’est moi. Le type va finir par me balan­cer moi" "raconte-t-elle.

Finalement les choses se sont terminées de manière plus légale : au tribunal !