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Dans le cadre de la mobilisation autour des 223 lycéennes enlevées au Nigeria, Valérie Trierweiler était l'invitée hier soir du Petit Journal. Se félicitant de la campagne de soutien, elle a indiqué que François Hollande avait pris contact avec elle à ce sujet.

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Invitée hier sur le plateau du Petit Journal, l’ex-première dame française Valérie Trierweiler est venue pour parler de la mobilisation autour des 223 lycéennes enlevées au Nigeria.

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Interrogée par Yann Barthès sur un éventuel soutien présidentiel, l’ex-compagne de François Hollande a ainsi déclaré "il m'a envoyé un petit message. Il a trouvé le rassemblement des lycéennes formidable" en précisant avoir été contactée "juste après" la manifestation de samedi.  

Elle invite l’opinion à faire pression sur le président

Alors que le présentateur du Petit Journal s’interrogeait sur l’utilité de la campagne #BringBackOurGirls, Valérie Trierweiler a répondu "à chaque fois la mobilisation a servi. Regardez ce qui s'est passé pour tous les otages français enlevés à chaque fois. Il y a la version Quai d'Orsay 'il ne vaut mieux pas en parler', et il y a l'autre version 'on se mobilise et on ne les oublie pas" précise celle qui a pu observer les coulisses du pouvoir.

Et l’ancienne pensionnaire de l'Elysée de rajouter "plus l'opinion publique est mobilisée, plus les chefs d'Etat suivent leur opinion publique. Donc il faut que tout le monde se mobilise". Pour la journaliste de Paris Match, le message qu’elle a reçu de François Hollande atteste de l’utilité de la mobilisation de l'opinion publique. Elle s'est également dit "plus à l'aise maintenant" que lorsqu'elle était première dame. "Je redeviens moi-même, parce que je suis sortie d'un carcan" a-t-elle ajouté.