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Près d'un mois après la rupture de François Hollande avec Valérie Trierweiler, le frère de l'ex-Première dame a accordé une interview au Vanity Fair espagnol. Il n'a pas mâché ses mots à l'égard du président.

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Si Valérie Trierweiler accuse encore le coup suite aux révélations de Closer sur la prétendue liaison de François Hollande avec Julie Gayet, son frère a également du mal à digérer cette affaire. "Ce qu’a fait François Hollande est quelque chose de brutal, cela va au-delà de la trahison", a en effet déploré William Massonneau dans les colonnes du dernier numéro du Vanity Fair espagnol.

"Son pouvoir de séduction est immense"Visiblement remonté contre son ex-beau-frère, l’ingénieur en informatique de 50 ans a dénoncé le manque de délicatesse dont avait fait preuve l’ancien compagnon de sa sœur. "Moi, je ne me suis jamais comporté de la sorte et j’espère ne jamais faire cela", a-t-il confié avant d’ajouter : "Hollande est un homme doué de beaucoup d’empathie. Mais sa capacité à mener des vies parallèles me dépasse. Son pouvoir de séductions est immense". Expliquant que lui et sa famille étaient à mille lieux de soupçonner la supposée liaison entre le président et l’actrice à l’affiche d’Ames de papier, William Massonneau a raconté comment se sont déroulées les fêtes de fin d’année. "Nous avons pris un repas chez moi. Ma mère, mes frères, des neveux, Valérie et lui. Nous sommes une famille grande et unie. Les chiffres du chômage n’étaient pas bons. Hollande savait que cela affecterait son image, qui était déjà très affaiblie. Malgré cela, il était sympathique et agréable avec tout le monde", a-t-il indiqué.

"Tu assumes la situation.  C’est toi qui t’es mis dedans, c’est à toi de la régler"Quant à la manière dont le président a géré la situation après les révélations de Closer, le magazine espagnole a rapporté un échange de sms que François Hollande aurait eu avec Valérie Trierweiler.  "Nous devrions envoyer un communiqué commun", aurait ainsi envoyé le chef de l’Etat à celle qui était alors encore sa compagne. Ce à quoi cette dernière aurait répondu : "Pas question. Tu assumes la situation. C’est toi seul qui t’es mis dedans et c’est à toi de la régler. Je ne signerai aucun communiqué".