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Rachida Dati s'est rendue ce mardi à la dernière audience dans le cadre de sa demande de reconnaissance de paternité et de pension alimentaire qu'elle a engagée à l'encontre de Dominique Desseigne.

Ce mardi, le tribunal de Versailles a mis en délibéré la demande de reconnaissance de paternité et de pension alimentaire engagée par Rachida Dati à l’encontre de Dominique Desseigne. Le P-DG du Groupe Lucien Barrière a toujours nié être le père de Zohra, la fille de l’ex-Garde des Sceaux. La date du jugement de la première chambre civile n’a pas été rendue publique, rapporte l’AFP.

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La maire du VIIe arrondissement de Paris a assisté à l’audience en huis clos pendant près de 1h30 avant de regagner rapidement son véhicule aux vitres teintées, détaille l’agence de presse.

Dominique Desseigne avait refusé les tests de paternité

En octobre 2012, Le Point avait révélé que l’eurodéputée avait assigné Dominique Desseigne pour reconnaissance de paternité de sa fille, aujourd’hui âgée de 5 ans. L’identité du père de cette dernière n’avait alors jamais été évoquée par l’ancienne ministre de la Justice.

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En décembre 2012, le tribunal de grande instance avait ordonné un test génétique afin d’établir si le P-DG du groupe de casinos et d’hôtels est réellement le père de l’enfant. Ce dernier avait refusé le test, arguant que Rachida Dati n’avait pas donné suffisamment d’éléments précis concernant la période de conception.

Toujours dans le cadre de cette procédure, l’ex-ministre de la Justice avait formulé une demande de pension alimentaire s'élevant à 6 000 euros par mois, rappelle l’AFP. La ministre avait également demandé que la pension soit rétroactive, c'est-à-dire qu'elle soit calculée depuis la naissance de Zohra, le 2 janvier 2009. Soit 288 000 euros, indique Closer.

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